Auteur/autrice : admin

Ce qui nous attend demain

Ce qui nous attend demain

En octobre 2017, l’institut des Finances Internationales publiait les chiffres officiels de la dette que le grand capital international avait accumulée : 237.000 milliards de dollars.
Soit 192.000 milliards d’euros, ou plus de trois fois l’activité économique annuelle de la planète. Donc plus de 30 000 $ par habitant, y compris les nouveau-nés, les vieillards et le milliard de gens qui vivent avec moins de 1 € par jour.
Chiffres bien entendu en hausse en 2018 et que l’on estimait déjà à 250.000 milliards de dollars. De plus le montant des produits dérivés des banques dans le monde avait dépassé 1.500.000 milliards de dollars soit plus de 1000 fois la valeur de l’or détenu par l’ensemble des banques centrales dans le monde ( 1400 milliards $). Ce qui, en cas de krach, représentait un passif total d’environ deux millions de milliards de dollars. Soit environ 2500 fois le PIB mondial (évalué à 80.000 milliards $ pour 2018) !
Dans le même temps les fonds propres des grandes banques mondiales ne représentaient plus qu’entre 0,15 % et 0,6 % de leurs engagements sur ces produits dérivés.

Ainsi, pour chaque actif, la facture était d’autant supérieure, et augmentait d’environ mille milliards de dollars par an.
Pour nous faire une idée de cette vitesse, pensez qu’aux seuls Etats-Unis, entre 1776 et 2006, elle avait atteint 8.000 milliards, et qu’il n’aura fallu que onze ans pour qu’elle soit multipliée par 2,5.
Effet boule de neige qui explique comment, au cours de ses deux mandats, Barack Obama aura réussi à créer plus de dette que l’ensemble des quarante-trois ex-présidents américains depuis George Washington !
Et pourtant, tout cela reste abstrait. C’est pourquoi quelques mots d’explication sur les conséquences de cette folie, ne seront pas de trop.

D’abord, chacun l’aura compris, la dette ne sera jamais remboursée, ce qui veut dire que des millions d’actionnaires vont se retrouver ruinés au cours du plus grand crash financier de tous les temps.
Imaginons donc ce scénario catastrophe, qu’il est impossible de prédire, mais tel qu’il pourrait se produire à une date indéterminée…

Pour commencer, les gouvernements continueront encore un temps de prétendre avoir la solution en imprimant plus de monnaie, ce qui ne fera qu’amplifier le problème.

Puis ils feront marche arrière ce qui conduira à une hyperinflation, avec des taux d’intérêt atteignant 15 à 20%.
Et nous constatons qu’en 2018 le processus vient de commencer avec l’abandon par Wall Street des prêts à taux zéro.
Quant aux prêts immobiliers ils affichent en France, en juin 2018, un taux de 1,7%, tandis qu’aux USA, ils ont dépassé les 4,6% (taux directeur de la FED à 2%)…
Ainsi, bientôt les banques centrales perdront le contrôle sur leur manipulation des taux d’intérêt. Et c’est alors seulement, que commenceront les véritables difficultés…

Tout d’abord, au fur et à mesure que la dette implosera, tous les actifs de la bulle s’effondreront. Les actions, les obligations et l’immobilier déclineront de 80 à 100%.
Soit ce qui advint entre 1929 et 1932, lorsque le Dow Jones a chuté de 90%, entre 2000 et 2002 quand le Nasdaq a décliné de 80%, ou encore entre 2007-2010 lorsque la crise des subprimes « surprit » jusqu’au secrétaire au Trésor américain, Mr. Bear Stearns qui, en débranchant Lehman Brothers et ses 660 milliards d’engagements, pensait que le choc pourrait être absorbé.
Erreur fatale qui entraina en quelques jours la chute d’AIG plus grosse société d’assurance du monde, puis tout le reste de la structure.
La seule différence avec ce qui pourrait nous attendre étant que lors de ces trois grands crashs la dette mondiale était inférieure, et les bulles d’actifs bien moindres. Ce qui permit de régler la crise de 1929 au prix de la Seconde Guerre mondiale.
Par contre, les deux dernières n’ayant pas solutionné le problème de fond, mais simplement placé quelques rustines pour tenter de remédier aux effets immédiats, – rustines qui sauteront avec l’abrogation de la loi Dodd-Frank et la politique de guerre économique mondiale voulue par Trump – la dette ne ferait qu’augmenter, mais avec un effet exponentiel !
En effet, si l’on ne considère que la crise de 2008, la planète économico-financière qui avait engendré une dette de 140 000 milliards de dollars, fut sauvée par une politique de relance budgétaire ayant permis à la croissance mondiale de rebondir, sans pour autant engendrer une forte inflation, puisque la tendance était déflationniste.

De plus, grâce à l’action des banques centrales qui inondèrent les marchés de liquidités, les taux d’intérêt à long terme n’ont pas augmenté, et ont même baissé pour atteindre parfois des niveaux nuls, voire négatifs. La relance a donc bénéficié d’un contexte parfait : faible inflation, politiques monétaires ultra-accommodantes et taux d’intérêt des obligations d’Etat excessivement bas.
Le problème est que la planche à billets qui inonda littéralement le marché de la dette (plus de 4.000 milliards de dollars aux Etats-Unis) n’a pas épargné l’euro puisqu’en 2017, la dette de la Banque centrale européenne (BCE) dépassait celle de la FED avec 4.157 milliards d’euros, soit plus de 4.568 milliards de dollars, devenant ainsi, après la Chine, le plus important émetteur de monnaie du monde. Pourquoi ?

Tout simplement parce que depuis mars 2015 l’institution a décidé d’acheter pour 60 milliards d’euros d’actifs par mois aux banques internationales détentrices de la dette des Etats européens. Volume porté à 80 milliards en mars 2016 avant de revenir à 60 milliards en 2017.
Là encore en imprimant des euros, sans garantie puisque la reprise de l’économie en zone euro est loin de pouvoir intégrer l’impression de tant de milliards d’euros.
L’Europe a donc suivi le processus de fuite en avant enclenché aux Etats-Unis par la FED. Et quel autre choix avait-elle ?
Or aujourd’hui, chacun sait que l’augmentation de cette dette qui atteignait 4 427,5 milliards d’euros soit 41 % du PIB de la zone euro au moment du bilan en novembre 2017 n’est pas parvenue à relancer une croissance stable fondée sur une économie pérenne, puisque le PIB européen n’a évidemment pas progressé de 41 % en 3 ans !!
Cela veut dire que la croissance économique européenne est tout simplement une croissance de la masse monétaire, pas une croissance économique normale et saine.
Ainsi avec la guerre économique enclenchée par les USA et l’effondrement programmé du dollar, donc le crash à venir, la dette devrait être de plus de 230 000 milliards de dollars soit plus du double qu’en 2008, mais avec de surcroit un « plan catastrophe » à plus ou moins long terme envisageant le crash comme une solution finalement rentable pour les états endettés et les banques qui auront su le préparer.
Autrement dit aux dépends à la fois des petits porteurs et des économies nationales, donc des contribuables…
Ainsi il n’y aurait guère plus que la Chine avec ses 3.200 milliards de dollars de réserves de changes en toutes monnaies et l’Allemagne, avec son excédent public, qui pourraient faire face à la tempête.
Pour les autres, c’est-à-dire quasiment tout le monde, il ne serait pas possible de relancer la machine.

Ce qui explique pourquoi, dans son rapport d’Octobre 2017, le FMI a prédit pour 2020, une hausse rapide des taux d’intérêt, une chute de 15 % des marchés et un recul de 7 % des prix de l’immobilier. Donc une production mondiale en chute de 1,7 % en moyenne. « L’intensité du choc est égale à un tiers de celle enregistrée en 2008. Chacun peut imaginer le désastre si d’aventure les marchés dévissent de manière plus importante. »
Et bien sûr chacun sait que ces marchés VONT dévisser puisque la dette a augmenté de manière incontrôlable…

D’ailleurs même si le Dow Jones monte depuis 8 ans et demi, passant de 6.000 à 25.000 points. Soit 400% de hausse, là encore. Mais là encore on « oublie » allègrement les leçons de l’Histoire qui nous rappelle que la plus longue hausse boursière de l’Histoire n’a duré que neuf ans, entre 1920 et 1929…

Ainsi, si l’on en croit la plus élémentaire logique, il s’agirait donc de se défaire, dans un délai très proche au vu de ce qui se prépare, d’environ 2 quadrillions de dollars de dettes, de passifs non capitalisés, et de produits dérivés.
Ce qui veut dire 29 fois le PIB mondial. En deux mots : La fin du système financier tel que nous le connaissons, puisque le papier monnaie, n’étant appuyé sur aucun étalon concret, serait rendu à sa valeur initiale : Un morceau de papier.
Et l’on imagine les foules se rassemblant paniquées devant les banques fermées, ou les distributeurs vides, pour réclamer non plus leurs économies, soit toute une vie de travail, mais juste quelques sous, afin de survivre.
Ce qui permet de comprendre pourquoi on cherche aujourd’hui à nous persuader de nous débarrasser de l’argent physique, pour ne plus utiliser que de la monnaie virtuelle.
Autant éviter ces scènes pénibles, et une déforestation inutile…

Heureusement, qu’on se rassure ! Une telle catastrophe ne toucherait réellement que les plus pauvres, puisque la directive relative au redressement des banques et à la résolution de leurs défaillances (BRRD) entrée en vigueur le 1er janvier 2016 et ratifié à l’unanimité par la totalité des gouvernements et des Parlements membres de l’OCDE, permettant aux banques en faillite de régler leurs dettes en faisant en toute légalité main basse sur les dépôts bancaires de ses épargnants, a été plafonnée à 100 000 euros !

Le problème évidemment étant que si les banques font faillite, 100 000 euros ne vaudront plus grand-chose…

Autre conséquence « heureuse » : L’implosion de la dette et des actifs entraînerait le plus important transfert de richesse de l’histoire : Les moyennement riches perdraient tout, tandis que les plus pauvres ne perdraient que leurs dettes. Ainsi, dans cette misère générale, seuls les plus riches s’en sortiraient. Ce qui malheureusement n’irait pas sans poser là encore quelques problèmes car si aujourd’hui une personne sur dix dans le monde vit avec moins de 2 dollars par jour, il faudrait que Bill Gates, première fortune mondiale, et même s’il continue de distribuer aussi généreusement sa fortune qu’il le fait depuis quelques années, débourse un million de dollars par jour pendant 2738 ans pour dépenser les 1000 milliards de dollars qu’il devrait posséder s’il vit jusqu’à 85 ans.
Ce qui devrait même lui donner la possibilité de se retirer sur mars avec toute sa famille, en cas de conflit mondial…

Car ne nous y trompons pas, c’est ce qui nous menace

Surtout si l’on intègre à ces données hautement menaçantes, les conséquences du réchauffement climatique et des exodes massifs de populations, donc la suite de conflits, révolutions et catastrophes humanitaires en tous genres que ceux-ci vont provoquer.
Bouleversements divers et variés qui pousseront, car ici nous ne sommes plus dans le domaine de la prospective mais de la certitude, chaque état d’influence, pensant avant tout à sa survie, à défendre ses intérêts particuliers par la force.
Et on comprend que depuis quelques années les budgets militaires des états les plus riches explosent littéralement, puisqu’en 2015 les dépenses militaires dans le monde, qui jusqu’ici stagnaient, sont passées à 1676 milliards de dollars, soit 2,3 % du PNB mondial, enregistrant un pour cent de hausse en une année et que celles-ci ne cessent d’augmenter, avec en tête des plus gros acheteurs : Les États-Unis avec 36 % des dépenses militaires mondiales (612,5 milliards de dollars et 7 500 ogives nucléaires), la Chine, deuxième plus gros budget de défense, qui entre 2006 et 2015 a multiplié par 132 son budget (215 milliards de dollars et 300 ogives). La Russie avec 76 milliards et 8 500 ogives nucléaires. Mais également l’Union européenne qui a prévu d’augmenter son budget de 8,6% à partir de 2016.

Et pourquoi dépenser tant d’argent pour des armes, si ce n’est dans le but de les utiliser un jour ?…

Proposition qui n’est sans doute pas hors de portée de l’entendement d’un Trump, qui pourrait ainsi tenter d’imposer par les armes la volonté hégémonique américaine sur le monde, afin de compenser la perte de pouvoir économique, et donc politique, du billet vert.
Car qui ignore qu’une « bonne guerre » restera toujours un levier magique pour retrouver une côte de popularité en péril après un effondrement monétaire ?
D’ailleurs n’est-ce pas ainsi que Roosevelt et Wall Street ont reboosté l’économie américaine en déchainant la Seconde Guerre après la crise de 1929 ?

Conclusion :

Sachant, ainsi que le publiait l’agence Reuters de Londres en février 2021 que : « Les aides liées à la pandémie ont créé 24.000 milliards de dollars de dette supplémentaire l’an dernier, portant la dette mondiale à un niveau record de 281.000 milliards de dollars (233.330 milliards d’euros) et le ratio dette/PIB mondial à plus de 355%, selon une étude. » Chiffres pharamineux que l’Institute of International Finance (IIF), complétait en précisant que les programmes de soutien étatiques ont contribué pour moitié à cette hausse, tandis que les entreprises, les banques et les ménages du monde entier ont ajouté respectivement 5.400, 3.900 et 2.600 milliards de dollars. Ce qui signifie que la dette mondiale a augmenté de 35 points de pourcentage. Qu’elle est à plus de 355% du PIB, et que cette hausse est supérieure de 10 points par rapport à 2008 et de 15 points par rapport à 2009. Il ne nous reste plus qu’à tirer la conclusion attendue : La dette prévue pour 2019 qui ne devait initialement pas dépasser à l’horizon 2020 : « 230 000 milliards de dollars soit plus du double qu’en 2008 » est à l’heure où je rédige cet article en février 2021 de 281.000 milliards de dollars ». Et en ce cas, qu’on m’explique comment la faire baisser autrement qu’en provoquant le moment venu, c’est-à-dire une fois que le Grand capital international noir aura su mettre ses avoirs à l’abri, ce grand crash mondial qui devrait faire cesser cette course folle, en détruisant l’épargne des Peuples ?

Pour lire la suite

Cliquez ici

Pourquoi cette amnésie massive ?

Amnésie massive

Pourquoi cette amnésie massive ?

Les parallèles à tirer entre la situation géopolitique mondiale de ce début de 21ème siècle et celle de 1927, à la veille du grand crash boursier de 1929, sont si évidents qu’on ne peut que s’étonner que les Peuples n’en soient pas plus informés.

À moins bien sûr que ce genre d’évidence ne soit tout simplement occultée « pour leur plus grand bien ». Après tout ne sont-ils pas « trop immatures » pour être informés de certaines réalités ?

En réalité, c’est sous ce prétexte rémanent que, depuis des siècles, on manipule les opinions et que les crises économiques ont pu mener aux guerres que nous connaissons.
Aussi n’est-il sans doute pas inutile de rappeler que ceux qui en furent les instruments, furent les premiers à s’en vanter :

La drogue de l’oubli

Voici les propos tenus par Goering et Goebbels au cours du procès de Nuremberg :
Göring : « Les gens peuvent toujours être entraînés sur ordres des dirigeants. C’est facile. Tout ce que vous avez à faire c’est de leur dire qu’ils sont attaqués, et de dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme et le fait qu’ils mettent le pays en danger. Ça fonctionne toujours pareil dans tous les pays.
Goebbels : « La technique de propagande la plus brillante n’aura aucun succès à moins d’un principe fondamental qu’il convient de garder constamment à l’esprit – il faut se limiter à quelques points et les répéter encore et encore.
Il devient de fait d’une importance vitale pour l’État d’utiliser tous ses pouvoirs pour réprimer la dissidence, tant il est vrai que la vérité est l’ennemi mortel du mensonge, et que par extension la vérité est le plus grand ennemi de l’Etat. »
Göring : «  Bien sûr, les gens ne veulent pas la guerre. Pourquoi est-ce qu’un pauvre type d’une ferme voudrait risquer sa vie dans une guerre quand le mieux qu’il puisse faire est de revenir dans sa ferme en un seul morceau ?
Naturellement, les gens ordinaires ne veulent pas la guerre ; ni en Russie, ni en Angleterre, ni en Amérique, ni d’ailleurs en Allemagne. Cela est très clair. Mais, après tout, ce sont les dirigeants du pays qui fixent la politique et c’est toujours une question élémentaire d’entraîner le peuple, que ce soit dans une démocratie, ou une dictature fasciste, ou le parlement, ou une dictature communiste. »

Et qui peut aujourd’hui nier que les Peuples du monde restent soumis à cette loi non écrite ?

La question est donc : pourquoi n’ouvrent-ils pas les yeux ?

Réponse d’Alexandre Soljenitsyne : « Nous ne nous trompons pas parce que la vérité est difficile à voir. Elle est visible au premier coup d’œil. Nous nous trompons parce que le mensonge est plus confortable. »
Et trois cent ans avant lui , celle de Diderot : « Nous avalons goulûment tout mensonge qui nous flatte, mais ne buvons que goutte à goutte, voire pas du tout, la vérité que nous trouvons amère. »

Et pourquoi le secret de famille imposé par les États dits « démocratiques », à propos de la trahison militaire française est-il si doux, et la vérité si inconfortable ?

Tout simplement, parce qu’il a été adopté par le monde entier et qu’il est devenu base de toutes nos réflexions.
Mieux ! Il est devenu part de nous-même, puisque tous nos choix moraux sont basés sur la conception de la lutte des forces du Bien contre celles du Mal. Celles du Mal représentant systématiquement « l’ennemi », auquel on inculque bien sûr les mêmes principes …

Le mensonge initial devient donc « mon mensonge », et même notre mensonge, celui qui lie nos sociétés.
Voilà pourquoi, en s’attaquant à lui, l’Historien révisionniste met en cause notre vision du monde et la manière dont nous percevons ses règles, donc notre personnalité la plus intime, la plus structurée.
Et l’on se battra, parfois inconsciemment, parfois en dépit du plus élémentaire bon sens, pour que ce mensonge demeure notre réalité.

« Gott ist mit uns »

De plus, les mêmes sociétés dites « démocratiques » ont hérité la triste habitude de renforcer leur pouvoir par une sorte d’alliance avec le concept divin, puisque Dieu est censé accorder la victoire à chaque camp afin de défendre La Vérité unique.

Enfin, si l’on ajoute à cela l’autorité que représente un gouvernement élu, l’armée ou la loi, s’attaquer à ces fondamentaux revient, dans le contexte œdipien, à remettre en question l’autorité du père protecteur !

Et comment pourrait-on résister à de telles pressions ?

Ainsi, même si nombre d’entre nous avons conscience du problème, il n’est pas facile d’admettre avoir été berné. D’autant qu’un autre sentiment négatif vient s’y ajouter : Le dégoût instinctif du mensonge.

Voilà pourquoi seule la vérité historique dûment enseignée aux jeunes générations par des historiens et des chercheurs ne travaillant que sur archives, et surtout loin de toute considération politique, leur permettra de distinguer les différents sens attribués aux mots « démocratie » ou « liberté », et leur rappellera que si la vérité peut blesser, le mensonge tue à coup sûr…

Car la grande question, en fait la seule important aujourd’hui à nos enfants est de savoir si la Mémoire est un patrimoine commun, si, une et indivisible, elle appartient en propre à chaque habitant de cette planète, qui, à sa naissance, recevrait en partage le droit inaliénable d’avoir accès à l’Histoire d’un monde construit par ses ancêtres, de comptabiliser à ce titre chaque goutte de sueur et de sang versé par sa famille.
Et si c’est réellement un droit, lui mentir serait un crime. Ou si l’humain doit être considéré comme un instrument de production, venant au monde sans cet héritage, et mourant sans le transmettre ?

Voilà ce que vous devrez décider, avant de vous donner les moyens matériels d’agir.

Pour lire la suite

Projet de Pandora : Espoir

Cliquez ici

Pour en finir avec la « théorie du complot »

Pour en finir avec la « théorie du complot »

« Lorsque le passé n’éclaire plus l’avenir, l’esprit marche dans les ténèbres »,

Alexis de Tocqueville

Nous affirmons qu’il est aujourd’hui possible d’en finir avec la « théorie » et même de clairement démontrer qu’il y a bien eu complot et que celui-ci reste d’actualité. Que toutes les thèses complotistes, quel que soit leur nom : Sages de Sion, Illuminatis, Rose-croix, Synarchie, complot juif ou franc-maçon, et autres épouvantails lémuriens n’existent, et ne sont montées en épingle par les médias, que pour mieux cacher le seul et unique complot dont les historiens aient la preuve :

Celui organisé par certaines puissances d’argent tout au long du 20ème siècle et jusqu’à nos jours, pour imposer les guerres qui permirent de piller les ressources de tant de pays.

En effet, la trahison militaire française, qui en soi ne serait qu’un banal évènement historique car elles abondent dans notre Histoire, ouvre une autre question bien plus importante pour notre 21ème siècle : Pourquoi certains patriotes français, souvent même républicains, ont-ils voulu ce retournement d’alliance pour s’associer avec le Reich nazi ? 

Et c’est là que nous intervenons, puisqu’en attendant que les ouvrages à paraître renseignent enfin les Peuples sur cette part essentielle de leur histoire, nous vous offrons dès à présent de prendre connaissance des grands enjeux économiques qui, seuls, purent amener des décisions aussi « incompréhensibles » …

Toutes informations également développées sur notre chaine YouTube, en attendant que les ouvrages sur la question, en phase d’écriture actuellement, soient disponibles à la vente.

Notre chaîne YouTube

Découvrir

Les buts de guerre des grands Empires

L’historiographie mondiale nous présente les conflits du 20ème siècle comme le résultat de tensions entre pays.
Or, rien de plus faux, puisque les deux premières Guerres mondiales ainsi que la Guerre froide qui suivit, résultent d’une confrontation entre les deux grands Empires dominants : France et Angleterre ; et les trois émergeants : États-Unis, Russie et Allemagne.

Le premier de ces conflits, déclenché en 1914, répondait à une triple préoccupation des empires britannique et américain :


1° Ne jamais autoriser la formation d’une alliance européenne continentale. Et pour cela empêcher le rapprochement de la France, de l’Allemagne et de la Russie.


2° Dans cet ordre d’idée, il fallait stopper le développement du commerce par voie ferrée unissant chaque jour plus le continent, depuis le début de « l’ère industrielle ».
En effet, la France avait construit la ligne de chemin de fer transsibérienne avec la Russie, ce qui offrait de transporter des marchandises plus rapidement et à moindre coût que par la mer, depuis l’Europe jusqu’en Chine et aux Indes. Deux pays considérés comme « chasse gardée » de l’Empire britannique.
Dans le même temps l’Allemagne, alliée de l’Empire ottoman, construisait une autre voie ferrée reliant Berlin à Bassorah, lui donnant ainsi accès aux fabuleux gisements de pétrole iranien.
Pétrole alimentant la flotte de Sa gracieuse Majesté et qui, s’il tombait aux mains des Allemands, aurait directement concurrencé les deux plus grandes sociétés pétrolières de ce début de siècle : La Standard Oil de M. Rockefeller et la Royal Dutch Shell du magnat britannique Deterding, respectivement maître de Wall Street et de la City de Londres.


3° L’Allemagne construisait une flotte marchande capable d’exporter les marchandises issues de ses usines ultra-modernes jusqu’en Amérique du sud et même aux Etats-Unis. Perspective tout aussi intolérable pour Wall Street.


La seconde Guerre mondiale reprenait ces fondamentaux commerciaux et géopolitiques, tout en admettant d’autres paramètres concernant directement les grands cartels de Wall Street.
En effet, les extraordinaires bénéfices que leur avait apporté la Première guerre au cours de laquelle ils avaient pu exporter les matières premières, le matériel de guerre et les approvisionnements que l’Angleterre et la France ne pouvaient plus produire, leur avait permis de placer la bourse de Wall Street à la première place de l’économie mondiale. Un marché juteux auquel la victoire de 1918 mettait fin.
On comprend donc tout l’intérêt qu’ils pouvaient avoir à en provoquer une seconde tout aussi rentable et même, si possible, encore un peu plus…

La guerre comme remède

Et c’est ici qu’apparaissent les fondamentaux du « complot international » que nous comprendrons pourtant aisément, tant ils sont logiques.
Toute l’affaire se résume en cinq temps :

  • 1° Après la défaite allemande de 1918, les pays vainqueurs obtinrent en tant que dédommagement de guerre, à la fois les colonies des pays vaincus, les brevets industriels, certaines grandes industries, et autant de gisements de matières premières.
  • 2° Pour gérer cette manne, ces États vainqueurs revendirent ces biens à des prix de misère à leurs plus grands trusts. Ceux-ci se retrouvèrent donc non seulement avec une énorme masse de nouvelles entreprises à gérer, mais également devant la responsabilité de les faire tourner pour éviter une récession.
  • 3° Le climat du début des années 1920 étant à la paix mondiale, les entreprises de tout le continent européen commencèrent donc à produire du matériel à usage civil, avec pour conséquence une surproduction considérable entrainant une concurrence féroce non seulement entre pays européens mais également avec les entreprises américaines incapables de freiner les importations en provenance de pays ruinés où le prix de revient était bien moindre.
  • 4° Le résultat fut une récession violente aboutissant au grand crash boursier et économique commencé en 1927 en Allemagne et aboutissant à la crise mondiale de 1929.
  • 5° Et l’on comprend mieux pourquoi les grands cartels mondiaux, ayant bien sûr prévu dès le début des années 1920 que cette obligation de maintenir leurs entreprises surdimensionnées pour répondre aux besoins de la Grande Guerre ne pouvait qu’entrainer cette spirale infernale, s’orientèrent logiquement vers le seul marché en mesure d’absorber une telle capacité de production : Une nouvelle guerre.

En effet, à une époque où les joies de la société de consommation n’avaient pas encore atteint les peuples accoutumés à un mode de vie simple et rural, comment demander à une ménagère d’acheter 100 casseroles, alors que deux ou trois lui suffisaient largement.
Par contre le marché de la guerre, impliquant de détruire le matériel produit au fur et à mesure qu’il sortait des usines et de consommer les matières premières en flux tendu était la seule issue envisageable afin d’éviter un chômage de masse, la ruine des économies, et même une éventuelle révolution mondiale afin d’en finir avec cette course effrénée à la surconsommation.

La mainmise des cartels sur le Monde

La manœuvre se déroula en deux temps.

D’abord, dès 1917, les cartels américains commencèrent à placer les énormes bénéfices qu’ils tiraient de la guerre européenne dans l’économie du premier empire à s’être écroulé : La Russie.
Manœuvre rééditée dès 1920, avec la reddition sans condition des empires austro-hongrois et allemand, en investissant essentiellement dans toutes les industries lourdes et les ressources naturelles des pays de l’Est européen.

Investissements massifs imités cette fois par les cartels anglais et français.

Puis, afin de créer les conditions indispensables à un nouveau conflit, ils s’employèrent, dès 1922 par certaines clauses secrètes du traité de Rapallo, à réarmer secrètement les deux grands vaincus : Allemagne et Russie.

Sachant que la Russie ruinée aurait dû employer toute son énergie à relever ses ruines et que l’Allemagne, dans le même état de délabrement, avait en plus été interdite de réarmer, l’intention malveillante est établie.

Cette initiative anglo-saxonne fut immédiatement suivie par les grands cartels européens continentaux, peu soucieux de se voir distancer dans cette course au réarmement.
Ainsi tandis que les cartels de Wall Street, – appuyés par ceux de la City de Londres pour ce qui concerne l’Allemagne – réarmaient les futures dictatures, les Européens continentaux réarmaient les démocraties.

Et l’on commence à comprendre comment tout cela va dégénérer pour le plus grand bénéfice des uns et des autres.

La naissance de l’Europe

Face à cette nouvelle répartition des cartes de l’économie mondiale, les pays d’Europe continentale s’organisèrent afin d’éviter une nouvelle guerre dévastatrice.

Portée par les Peuples, les cartels européens et les organisations d’anciens combattants et de militants avides de paix s’unirent dans un nouveau projet : La création des États-Unis d’Europe.

Projet soutenu par la Société des Nations et les gouvernements des différentes nations concernées, avec au premier rang la France et l’Allemagne, qui aboutit à un premier résultat concret le 30 septembre 1926, avec la première version d’une Union européenne réunissant les cartels de l’acier. Initiative bientôt suivie par tous les autres cartels : azote, charbon, électricité etc…

Cette première Union européenne très « oubliée » des théoriciens de l’incompréhensible avait deux objectifs déclarés :

  • Donner à l’Europe une Constitution républicaine basée sur les grands principes de la société des Lumières et de l’humanisme.
  • Combattre l’infiltration de Wall Street au sein de son économie.

Alors bien sûr, on peut se demander pourquoi les grands cartels européens semblèrent indifférents à cette dégradation annonçant clairement un nouveau conflit. Il leur aurait pourtant été simple de dénoncer le réarmement secret de l’Allemagne devant la Société des Nations et de mettre un terme à l’escalade.

Et la réponse est évidente : Parce qu’ils comptaient bien, eux aussi, profiter de la manne promise, ceci non seulement en fabriquant les armes des démocraties, mais en fournissant à l’Allemagne les matières premières dont ses usines à capitaux mixtes manquaient cruellement.

Ce qu’ils firent sans la moindre vergogne. Et l’on comprend mieux maintenant pourquoi le « secret de famille » put s’imposer si longtemps…

Le prétexte idéologique

Pour alimenter le conflit désiré, et parce qu’il est essentiel de correctement manipuler les Peuples avant de leur demander de se faire complaisamment tuer pour enrichir quelques « puissants », les mêmes intérêts cartellistes entreprirent de financer d’abord le parti communiste russe en offrant à Staline et ses amis le financement et les appuis nécessaires pour qu’ils puissent s’emparer du pouvoir.

Puis ils soutinrent par divers contrats l’économie de l’URSS, avant d’agir de la même manière en Allemagne en amenant Hitler au pouvoir et en soutenant l’économie du Reich jusqu’à l’amener à une semblant de puissance, apparemment assez convaincante pour prétendre menacer l’URSS.

Le communisme, entièrement financé et installé au pouvoir par Wall Street, s’opposa donc très naturellement au fascisme, soutenu par les mêmes intérêts.

C’est sous ces auspices que l’Europe démocratique républicaine fut finalement contrainte de céder la place à une Europe fasciste, tandis que le réarment généralisé sortait de l’ombre pour prendre tout l’espace des relations internationales.

Autre grande « oubliée » des historiens complaisants : La trahison militaire française, qu’on peut aujourd’hui considérer comme la « clé de voute » de ce Grand Mensonge du XXe siècle.
En effet, sans cette pièce essentielle du puzzle, il était aisé d’écarter les grands enjeux économiques pour ne paraître s’intéresser qu’aux enjeux politiques, donc à cette fable que fut : « La lutte des Puissances du Bien contre celles du Mal ».

La théorie du Blitzkrieg

Basée, nous l’avons vu sur une suite ininterrompue de hasards et décisions incompréhensibles, ou une série de « miracles », cette théorie de l’illogisme « oublie » volontairement de rappeler que :

1° L’armée d’Hitler était bien inférieure en qualité et en quantité à celle alignée par les Alliés :

Voici les derniers chiffres unanimement acceptés par les historiens concernant les forces en présence à la date du 10 mai 1940, jour de l’attaque allemande à l’ouest:

  • 135 divisions allemandes, contre 151 divisions alliées.
  • 7 378 canons allemands contre 14 000 pour les alliés.
  • 2 439 chars allemands contre les 4 204 chars alliés.
  • 3 864 avions allemands contre 4 900 appareils alliés

Sachant que le matériel allemand n’était pas supérieur au matériel allié, mais en général inférieur, notamment pour les chars, et que l’armée allemande n’avait au moment d’attaquer les grands empires de l’ouest, que pour un mois d’essence et de munitions.

Sachant d’autre part que les alliés avaient été informés dès le 10 mars 1940 par de nombreux informateurs – parmi lesquels cinq des généraux les plus proches du Führer – de tous les détails du plan d’invasion dit « Manstein » définitivement adopté le 17 février, et de la date et heure de l’attaque dès le 31 avril.

Comment imaginer que l’état-major allié ait pu être à la fois démuni de matériel et « surpris » par une stratégie révolutionnaire, ainsi que le prétend la version d’États (toujours au pluriel) ?

Conclusion

C’est en conservant soigneusement ces diverses données en mémoire que chacun pourra suivre les explications détaillées que nous vous offrons sur notre chaine YouTube.

Sans doute suffiront-elles à vous faire une « intime conviction » quant à cette trahison militaire et aux grands enjeux qui la motivèrent, avant que nos ouvrages à paraître vous proposent les archives, témoignages et travaux des meilleurs chercheurs ayant travaillé sur ce sujet majeur, souvent depuis plus de vingt ans …

Ici lien vers la page suivante : On vous explique

La trahison militaire française de mai-juin 1940

La trahison militaire française de mai-juin 1940

Aller sur la chaine Youtube

Après 60 ans de secret, les archives de la Bataille de France ont finalement été ouvertes au chercheurs en l’an 2000.

Elles remettent totalement en question la fameuse théorie du « Blitzkrieg » selon laquelle : « La victoire allemande serait en réalité due à trois facteurs principaux:

  • Des hasards incompréhensibles.
  • Des erreurs incompréhensibles des Alliés.
  • Un non moins incompréhensible individualisme de quelques généraux « fonceurs » à la tête des divisions blindées et qui mirent non seulement les Alliés, mais également la direction allemande devant le fait accompli. »

Fin de citation (K.H. Frieser 1940 Défaite française, victoire allemande sous l’œil d’historiens étrangers page 86)

En d’autres termes, un récit auquel personne ne comprenait rien mais que, faute de mieux, le public n’avait qu’à accepter en l’état.
Or, il n’y a jamais eu ni hasards, ni erreurs incompréhensibles, encore moins une série de « miracles » selon une autre expression consacrée, ayant permis aux colonnes allemandes de vaincre en vingt jours quatre armées alliées, mais une très longue série de trahisons.

Autre constat : L’omerta imposée depuis par l’État français le fut également par tous ceux directement concernés. En effet, comment imaginer que l’Allemagne qui en fut la principale bénéficiaire, l’Angleterre qui fut la principale victime, mais également la Belgique, la Hollande, puis tous les pays européens occupés, la Russie, ou les États-Unis n’auraient pas compris l’évidence ?

Une information aujourd’hui à la portée de tous, puisque les ouvrages traitant de cette trahison et du « complot de familles » (au pluriel) qui l’accompagna sont disponibles à la vente.

Pour vous en faciliter l’approche, visionnez également nos films sur notre chaîne YouTube.
Nous y développons les principales informations.

La trahison en quelques lignes

Les historiens révisionnistes français ayant pu travailler efficacement sur les archives de la Bataille de France, depuis leur ouverture officielle au début des années 2000, ont pu établir avec certitude que :

  • L’armée allemande n’était en rien supérieure aux armées Alliées. Les troupes et matériels à la disposition des Alliés le 10 mai 1940 étaient en quantité et en qualité supérieurs à l’armée allemande, y compris en ce qui concerne l’aviation.
  • Les ressources de la Wehrmacht en munitions, essence et armement ne lui permettaient de combattre qu’un maximum d’un mois. Il fallait donc absolument qu’Hitler remporte une victoire décisive en ce délai.
  • Les détails du Plan allemand, dit « Manstein », prévoyant de porter l’effort principal dans les Ardennes, sur Sedan et Givet, étaient parfaitement connus des Services de Renseignement français et alliés, au plus tard début mars 1940, soit plus de deux mois avant l’attaque.
  • Ces mêmes services connaissaient également de manière certaine la date de l’attaque, huit jours avant qu’elle ait lieu.
  • En fonction de ces renseignements, le général Gamelin, commandant en chef les armées alliées, conçut un plan visant à attirer le groupe d’armée A du général von Kleist dans le piège des Ardennes.
  • Ce piège prévoyait de bloquer la progression ennemie devant la Meuse en faisant sauter tous les ponts et en accumulant de puissantes réserves à proximité immédiates, afin de soutenir les trois divisions en charge de tenir les berges de la Meuse de Sedan à Givet.
  • Dans un second mouvement, une fois les colonnes de von Kleist empêtrées sur quatre routes étroites au cœur du massif dans le plus grand embouteillage de l’Histoire, donc sans possibilité de revenir rapidement en arrière, le généralissime avait prévu une contre-attaque en Belgique dans le dos de son adversaire, à hauteur de la « trouée de Gembloux », afin de le couper de ses approvisionnements et du groupe d’armées B du général von Bock, toujours engagé en Hollande.
  • Enfin, dans un troisième temps, trois armées de réserve stationnées sur la ligne Maginot devaient attaquer au nord par le Luxembourg afin de rejoindre la 1ère armée à hauteur de Gembloux pour entamer une contre-attaque en Allemagne qui aurait permis de s’emparer des régions industrielles de Rhénanie et de la Sarre, avant de se porter sur Berlin.
  • Sachant que l’armée allemande n’avait d’essence et de munition que pour un mois, ce plan, la contraignant à combattre sur tous les fronts à la fois l’aurait rapidement amenée à capituler, ou à poursuivre le combat en lançant des cailloux …

Cet excellent plan fut saboté par les généraux en charge de l’appliquer 

Contrairement aux dispositions prévues et aux ordres clairs passés par le général Gamelin :

  • Les défenses statiques qui auraient dû être déployées dans les Ardennes françaises dans des zones prévues pour la destruction n’ont pas été déployées. Les colonnes allemandes qui traversaient le piège des Ardennes en position très périlleuse ne furent pas bombardées, pendant trois jours.
  • Les armements modernes nécessaires (chars, avions, matériel radio, mitrailleuses etc…) ne furent pas livrés aux armées, mais conservés dans des dépôts, en attendant d’être remis intacts aux Allemands.

Sur le front de la IIe armée Huntziger

  • Le 13 mai, dès 5 heures du matin, alors que les Allemands sous le feu de l’artillerie française ne pouvaient franchir la Meuse faute de pouvoir construire les ponts flottants indispensables au passage des Panzer, des chars et des éléments d’infanterie français que l’on peut désigner sous le terme de « sections spéciales cagoulardes » attaquaient à revers les blockhaus d’artillerie et les divers points de résistance sur lesquels s’articulait tout le dispositif français.
  • Vers 15 heures, le blockhaus Bellevue, le plus important de la ligne, était détruit par ces éléments français.
  • Ce n’est qu’à partir de ce moment que les premiers fantassins allemands purent franchir le fleuve sur des canots pneumatiques, sans être fauchés par les tirs de ces blockhaus.

Dans le même temps, alors que les Panzerdivisionen et tout leur matériel de franchissement s’agglutinaient en masses compactes sur la rive droite de la Meuse, cibles idéales pour l’artillerie, le général français Huntziger ordonnait le retrait de ces canons, ceci de sa propre initiative et sans aucune raison stratégique, ou tactique.

  • Parallèlement, il enjoignait aux renforts venus au secours des défenseurs de la Meuse de faire demi-tour, alors que ces derniers tenaient toujours les berges.
  • Le sabotage de l’artillerie et l’affaiblissement progressif des troupes restées sur place permit ainsi aux allemands de jeter leurs ponts sur la Meuse sans subir de pertes, et les Panzer et armement lourds purent alors traverser sans opposition aucune, le lendemain matin 14 mai à 7h20.
  • L’excuse officiellement invoquée devant le grand public pour justifier ce repli fut une « hallucination collective » ayant provoqué la « panique de Bulson ».

Mensonge éhonté, démontré par production d’archives et témoignages.

  • Enfin les bombardements ordonnés pour le 14 mai, dans le but de détruire les ponts allemands furent également sabotés par le haut commandement de l’Armée de l’Air, en particulier le général Têtu, Cagoulard notoire, qui stoppa les vagues d’attaque françaises. Les bombardiers britanniques, malgré de lourdes pertes, ne purent détruire un seul de ces ponts.

Sur le front de la IXe armée Corap à Givet :

  • Alors que le général républicain Corap avait expédié des renforts en direction de Givet pour organiser la défense de la Meuse et une contre-attaque puissante, celle-ci fut sabotée par le général Martin qui, lui aussi sans aucune raison, retira les troupes envoyées en renfort, abandonnant du même coup sans soutien la 1ère Division de chars lourds. Sans infanterie, sans artillerie de soutien, sans essence, la 1ère DCR fut totalement anéantie, la plupart des chars ayant dû être détruits par leurs propres équipages.
  • Les deux autres divisions cuirassées furent volontairement éparpillées afin de ne pouvoir contrer efficacement les Panzer arrivant en masse compactes.
  • Au cours de ces deux jours cruciaux : 13 et 14 mai, les escadrilles de chasse furent soit interdites de vol, soit expédiées dans des zones où il n’y avait pas d’aviation ennemie, abandonnant la domination du ciel à la Luftwaffe au-dessus de Sedan et de Givet, afin de faciliter encore la construction des ponts et le passage des Panzer.

Ces ordres furent donnés par les généraux membres du complot, là encore à l’encontre de ceux du haut-commandement.

Sur l’ensemble du front, entre le 15 et le 25 mai :

  • Dans la nuit du 14 au 15 mai, les généraux Georges et Billotte, commandant en chef sur le front Nord-est et principaux responsables de la trahison, ordonnaient une retraite générale des troupes alliées du front Nord en Belgique. Cet ordre fut donné alors que leur position était extrêmement forte, face au groupe d’armées B de l’armée allemande.
  • Ce mouvement ordonné, là encore, à l’encontre des ordres du général Gamelin, sabotait en toute connaissance de cause ce qu’on peut appeler le « Plan Gamelin N°2 » qui, après l’échec du « piège sur la Meuse », avait prévu de « pincer » les Panzer allemands à la sortie des Ardennes.
  • Le Plan Gamelin N°3 qui ordonnait une manœuvre à peu près similaire à mettre en œuvre à partir du 19 mai, fut saboté par les mêmes généraux qui, là encore, n’exécutèrent pas les ordres.
  • Entre le 16 et le 19 mai, certains officiers, commandant notamment des régiments de chars, abandonnèrent volontairement, et sans être attaqués, les ponts aux Allemands qui se présentaient sur la Somme sur l’Aisne et sur l’Oise. (généraux Duchemin et de Beauchesne)
  • Dans la nuit du 18 au 19 mai, le général Georges ordonna, toujours en opposition aux ordres formels du général Gamelin, de retirer les forces françaises en mesure de stopper les Panzer sur une ligne Valenciennes – Laon pour les replier au sud de la Somme, ouvrant ainsi grand la route de la mer à Guderian et Rommel. (Ordre N°102)
  • De la même manière, il sabota les contre-attaques de chars prévues au nord et au sud. Les chars français en furent réduits à regarder, l’arme au pied, passer les Allemands.
  • Dans le même temps, de nombreuses divisions d’élite restèrent sans combattre dans la ligne Maginot et y furent maintenues jusqu’à leur reddition.
  • Le 20 mai, après le limogeage du généralissime Gamelin, le général Weygand, en tant que nouveau commandant des armées alliées, interrompit définitivement le Plan Gamelin N°3 et maintint ses troupes sans ordres jusqu’au 25 mai. Ce n’est qu’une fois la situation définitivement compromise et les troupes du Nord totalement encerclées, qu’il donna les ordres nécessaires pour une retraite vers Dunkerque.
  • En coulisse, tout au long de la bataille, le maréchal Pétain informait Hitler par l’intermédiaire de l’ambassadeur d’Espagne des décisions militaires prises et de l’évolution de sa manœuvre politique en vue de faire chuter le gouvernement de Paul Reynaud, puis d’abattre la République et de signer au plus tôt l’armistice.
  • Lorsque ce but fut atteint, il fit cesser les combats aussitôt qu’il en eût le pouvoir.

L’accès à de nouveaux témoignages permet d’établir que le mensonge d’État qui succéda à la défaite fut mis en œuvre de la manière suivante :

Les principaux témoins, dans leurs livres « Souvenirs » ont menti en usant de stratagèmes d’écriture allant de l’omission pure et simple de données primordiales, aux mensonges les plus grossiers.
Il s’agit des généraux Weygand et Georges. (s’exprimant au travers du livre de son chef d’état-major le général Roton)

Parmi ces militaires de haut-rang d’autres faux témoins tels Beaufre, Ruby, ou Minart, ainsi que certains hauts responsables des services secrets usèrent des mêmes stratagèmes.    

Le but était de propager une version totalement mensongère de la Bataille de France, de manière à blanchir les vrais responsables et accuser les hommes qui, au contraire, avaient tenté de la contrer. 

L’accusé principal devait être le généralissime Gamelin, alors que tout démontre que le vrai coupable fut le général Georges.
Le moyen employé par tous ces faux témoins, fut d’adopter sans restriction, et surtout sans le moindre élément concret de preuve, la version donnée par le général Georges et les officiers tenants du régime Vichyste, en tentant de faire croire que Gamelin n’avait rien fait d’autre que compter les mouches dans son QG de Vincennes, se désintéressant totalement de la bataille. 

Cette légende de « l’aboulie » du général en chef permettant de passer sous silence les ordres qu’il donnait, et ne furent pas exécutés.    

L’État français principal artisan de la désinformation

Ce mensonge d’État organisé par Vichy fut, en toute connaissance de cause, propagé après la Libération par les plus éminents historiens français, et cautionné par les gouvernements républicains des IV et Ve Républiques permettant à la version officielle de prospérer, puisqu’un nombre indéfini d’archives reste toujours hors de portée des historiens et que la plus importante d’entre elles, à savoir le Journal de Marche du Cabinet Gamelin  –  c’est-à-dire le compte-rendu précis au jour le jour de tous les évènements de la bataille tenu par l’état-major du généralissime – ainsi que ses Carnets de notes et Agendas personnels furent volés à son domicile avant leur classement aux archives par des officiers mandatés par le ministère de la Défense quelques minutes seulement après son décès à l’hôpital du Val de Grâce, le 18 avril 1958. Ceci alors que madame Gamelin était absente, et ne savait même pas encore que son mari venait de mourir (aucun de ces documents n’est réapparu au moment de l’ouverture officielle des archives en 2000).

Soit quelques milliers de pages absolument essentielles quant à la préparation et au déroulement de la bataille, sur lesquels comptaient les généraux Gamelin et Doumenc au moment de rédiger leurs « témoignages pour l’Histoire » afin d’accréditer leurs dires, lorsqu’ils dénoncèrent les trahisons dont ils furent victimes au cours de la bataille, tout comme leurs actions pour les contrer, et les plans mis en œuvre.

Pour tout connaître sur l’intervention du ministère de la Défense en 1956

Cliquez ici

Si l’on ajoute à ce vol reconnu, la destruction « malheureuse » et la disparition, « incompréhensible » bien sûr, de tonnes d’archives après la guerre alors qu’elle étaient sous la responsabilité du Service historique des Armées, on comprend mieux sous quelle autorité les historiens « officiels » ont totalement écarté depuis près de quatre-vingt ans, les trois livres de Souvenirs rédigés par le général Gamelin, les Souvenirs de captivité du Président Daladier, ainsi que de très nombreuses archives et rapports officiels.

Idem pour ce qui concerne les deux ouvrages majeurs du général Doumenc : Histoire de la IXe armée, et Dunkerque et la Bataille de France, mais également ses Papiers secrets, analysés et publiés par l’historien François Delpla en 1991.

En effet, tous ces ouvrages parfaitement connus de tous et contredisant totalement la thèse « miraculeuse » furent systématiquement, soit ignorés, soit cités par ces historiens le plus souvent pour les détourner de leur véritable sens, à savoir une dénonciation en règle des trahisons mises en œuvre.

Nous noterons ici qu’il est sans doute inédit dans l’Histoire que les plus hautes autorités à la fois militaires et universitaires se permettent de ne tenir aucun compte du témoignage du généralissime en charge de mener une bataille et des principaux militaires concernés.

Même absence de considération pour ceux de nombreux généraux et responsables politiques alliés, tel le général van Overstraeten conseiller militaire du roi des belges ou le ministre Van Zuylen. Et même celui du général Winterbotham, chef des Services de Renseignements britanniques, concernant Enigma.

Idem concernant les travaux des historiens anglo-saxons dénonçant les véritables buts de guerre de certains groupements d’intérêts américains et britanniques.

Dans le monde entier des centaines de travaux d’Historiens restent volontairement ignorés

Je pense notamment à ceux qui, dans les années 1960, se penchèrent sur le véritable rôle des généraux allemands démocrates qui, depuis l’accession au pouvoir d’Hitler, renseignaient les Services de renseignements alliés des moindres décisions les plus secrètes prises par le Führer.

Donc aux ouvrages de Mrs. Pierre Accoce et Pierre Quet concernant le réseau Roessler, intitulé : La guerre a été gagnée en Suisse et publié chez Perrin en 1965 ; ainsi qu’à : On l’appelait A 54 écrit par Mrs C. Amort et I.M. Jedlicka, paru chez Robert Laffont en 1966, qui tous deux décrivent précisément la manière dont les Alliés furent renseignés à la fois sur tous les détails du Plan Manstein dès le 10 mars 1940. Et quant à la date de l’attaque : dès le 31 avril !

Ces renseignements qualifiés par les SR alliés comme provenant de sources extrêmement fiables furent occultés dans tous les ouvrages soi-disant « historiques » pour laisser la place à la thèse officielle de « l’aveuglement » des dirigeants alliés, et autres théories abracadabrantes à base « d’effet de surprise ».

Je pense également à tous les témoignages d’époque et ouvrages d’historiens concernant l’état des finances du Reich et la piteuse réalité de l’armée allemande.

Et l’on comprendra bien que partant sur ces bases totalement fausses il ne fut pas très difficile d’imposer une thèse « incompréhensible » aux Peuples médusés de tant d’incapacité côté allié, et de tant de brillantes initiatives côté allemand !

Enfin, sachant que ces trahisons multiples, tout comme le véritable contexte et les enjeux évoqués plus haut, sont encore activement occultés par TOUS les États concernés, voici bien l’ultime preuve d’une volonté imposée aux Peuples par-delà les frontières de conserver le secret sur cette « étrange défaite ».


Continuez votre lecture

Pour en finir avec la théorie du complot


Espoir

Espoir

Une chose, une seule, nuit à la planète et aux Peuples : Le mensonge.

Sans vérité, ceux-ci n’ont aucun pouvoir sur leur destin. Voilà ce qu’il convient de changer.

En effet, accepter que les mensonges d’États continuent sur le même mode, c’est renoncer à exercer tout contrôle sur les hommes de « l’establishment ».

À contrario, se réapproprier les expériences du passé, c’est non seulement s’ouvrir le droit d’exiger la transparence absolue sur les grandes décisions engageant les différents pays, mais également la participation des représentants des Peuples à leur élaboration.

Une fois cette évidence bien comprise, nous pourrons agir tous ensemble afin de peser sur les « Puissants »,  car chaque décision prise au cours des prochaines années sera cruciale pour l’avenir de l’Humanité.

Et la question se posera : Allons-nous continuer sur le même mode de « la croissance à tous prix. » Alors que nous savons parfaitement que ce fut le ressort du puissant mécanisme qui amena tant de destructions au cours du 20ème siècle ?

Ou préfèrerons-nous changer de mode de fonctionnement en éliminant de notre raisonnement les principes de concurrence et de conquête, de croissance sans limites, afin de les remplacer par ceux d’une saine gestion des acquis technologiques, et de coopération entre les Peuples ?

Un rêve aujourd’hui à notre portée grâce aux nouveaux moyens de communication, et puisque la légitimité de décider de l’avenir de nos sociétés a changé de camp.

Vous trouverez bientôt sur ce site les liens vous permettant de contacter les associations partenaires, qui rêveront avec vous ce monde idéal.

Nous rejoindre

Cliquez ici

Comment nous aider

« Nous vivons une époque où seule la vérité fait peur. »

Jean Raspail, Le Camp des Saints, Robert Laffont

Comment nous aider

En signant les pétitions que nous lançons

  • Pétition pour l’ouverture sans limite des archives

    Découvrir

  • Pétition pour ouverture d’un débat sur la trahison militaire

    Découvrir

En participant au financement de nos projets

Puisqu’il s’agit de réécrire toute l’histoire du 20ème siècle à nos jours, il nous faudra employer tous les médias.

C’est pourquoi nous avons choisi deux partenaires professionnels qui nous aideront à diffuser les informations et combattre les propagandes officielles :

Les Éditions du Mouton noir

En charge d’éditer les ouvrages des historiens révisionnistes, mais également :

  • Les romans, bandes dessinées, pièces de théâtre et toutes œuvres de fictions basées sur ces nouvelles donnes historiques et le rêves qu’elles autorisent pour l’avenir
  • Les ouvrages scientifiques qui accompagneront le changement de société indispensable à l’émergence du « monde de demain »

Visiter le site

Un bon scénario Production (UBS prod) 

Qui produira non seulement les séries documentaires historiques indispensables à la révision, mais là encore, des œuvres de fictions : films, séries, feuilletons, et même émissions de télévision basés sur ces nouvelles réalités.

Car voici ce qu’il faut bien comprendre : Changer le monde ne pourra se faire sans cette synergie entre science et rêve, dont tant de médias ont abusé pendant un siècle afin de nous faire adhérer aux « théories miraculeuses ».

Et là encore, nous aurons toute légitimité à employer les mêmes méthodes, puisque cette fois, elles serviront la Vérité.

Visiter le site

Un projet ambitieux qui demandera votre soutien

Bien sûr nous connaissons les innombrables embuches qui nous attendent. Nous savons que pour remettre en question toute l’histoire du 20ème siècle à nos jours et bousculer tant d’intérêts, nous n’aurons aucun soutien de la part des « autorités ».

C’est pourquoi nous avons si longuement préparé ce Projet, travaillé dans l’ombre sans aucun financement pendant vingt ans. Il fallait apporte le même jour : à la fois toutes les preuves de cette trahison militaire et les données économiques qui engendrèrent le complot mondial.

Nous avons, efficacement je crois, fait notre part. Mais nous ne pourrons rien de plus sans vous.

Car ce n’est plus d’abnégation et de don de soi dont nous avons besoin aujourd’hui, mais d’argent pour pouvoir produire librement !

C’est pourquoi nous vous demandons de répondre en grand nombre aux pétitions et de participer avec enthousiasme aux campagnes de financements participatif organisées par ces deux sociétés.

Chaque voix que vous apporterez pèsera devant les médias.

Chaque euro récolté influencera les banques.

Chaque participation aux évènements que nous organiserons bientôt, afin de vous rencontrer, comptera pour les politiques.

Notre initiative a été citoyenne et républicaine, elle s’éteindra comme un beau rêve si vous la refusez.

Notre plateforme de financement participatif

Notre plateforme de financement participatif

Vous avez apprécié la qualité des ouvrages historiques édités par nos historiens et essayistes ?

Vous avez aimé les sujets évoqués dans notre série de rendez-vous sur YouTube ?

En ce cas, partagez ces informations avec le plus large public bien au-delà de nos frontières !

Deux sociétés partenaires ont besoin de votre soutien.

Vous trouverez sur leurs sites sécurisés toutes les informations nécessaires à votre participation…

Nos pétitions

Nos pétitions

Les deux premières pétitions que nous développons avec notre partenaire

  • Pétition pour l’ouverture sans limite des archives

    Découvrir

  • Pétition pour ouverture d’un débat sur la trahison militaire

    Découvrir

Nous vous demandons d’exiger la fin du « secret d’État ». Cette pratique obscure, née de décisions prises par on ne sait qui, ni sous quelle influence, sans aucune visibilité de la part du Peuple.

Nous savons aujourd’hui que cette pratique a autorisé qu’on nous mente sur une part essentielle de notre histoire pendant quatre-vingt ans. Que ce « secret de famille » a permis de totalement pervertir les choix que nous avons fait depuis.

Qu’après avoir permis la Guerre froide et toutes les guerres impérialistes du 20ème siècle à nos jours, il a provoqué la destruction de la planète.

Est-il besoin d’en dire plus ?

Sponsors et mécènes

Sponsors et mécènes

Le douloureux vingtième siècle est passé, et avec lui les errements d’un monde de la finance et de l’industrie à la recherche de ses fondamentaux.
Les nouveaux responsables de l’économie mondiale savent que rien ne se fera plus au détriment des peuples, mais avec eux. Ils ont également compris que la fortune peut détacher de la vie, et desservir son possesseur, qu’il vaut mieux la partager et vivre dans un monde plus juste et plus sûr, que s’enfermer dans une tour d’ivoire.

Que les choses soient claires, le Projet de Pandora n’est pas d’opposer les Peuples aux Possédants, mais de dénoncer les erreurs du passé, d’assainir l’esprit de progrès.
Il s’agit de réunir les entrepreneurs sponsors et mécènes conscients qu’une communication bien comprise passe aujourd’hui par l’ambition affichée de servir l’homme en intervenant sur son éducation, son environnement, en deux mots son avenir.

C’est en participant à ses préoccupations de chaque jour, mais également à ses rêves, que vous aurez accès à la communication de demain.
Nous vous proposerons donc de financer les travaux d’historiens, mais également de scientifiques, d’artistes ou d’intellectuels dont le souci est de changer le quotidien en allant dans le meilleur sens possible, non pour satisfaire les puissances d’argent, mais pour amener l’humanité et la planète vers un meilleur avenir.

Mais pas seulement…

Leurs travaux aujourd’hui encore trop méconnus vous ouvriront d’autres horizons

Aucun industriel ou financier dans le monde n’ignore plus les lois sur l’extraterritorialité adoptées par les Etats-Unis depuis près d’une vingtaine d’années.
Vous n’ignorez pas plus les menaces si réelles d’un prochain crash boursier et de l’effet qu’il aura à la fois sur nos économies et sur nos politiques extérieures et intérieures.

Mais savez-vous que les historiens peuvent aujourd’hui vous offrir toutes les armes qui vous permettront de contrer efficacement ces dangers ?

En effet, grâce aux travaux des plus grands universitaires, tous les liens permettant de relier les grandes catastrophes du XXe siècle aux situations que vous avez à affronter aujourd’hui sont établis.
Toutes les preuves sont sur la table, les dates, les noms, les chiffres. Tout est connu !

Et pourtant le public n’en est pas averti

Alors qu’il y aurait là tous les arguments nécessaires pour interpeller les plus hautes instances mondiales afin de mettre fin aux pratiques agressives des Etats-Unis en particulier, l’information reste encore hors de votre portée.

Votre intérêt immédiat est donc d’aider à faire connaître au plus vite ces informations qui demain permettront enfin de réguler durablement les règles en matière d’échanges internationaux, donc l’économie mondiale.

Pour en savoir plus sur ces nouvelles découvertes historiques et économiques,

Cliquez ici

Pour acheter les ouvrages,

Cliquez ici

Un partenariat constructif avec les associations en charge de vous guider

Parce qu’un des principaux soucis d’une entreprise est la communication, nous vous offrons de vous appuyer sur les nombreuses structures qui nous aident à faire passer le message.

Cliquez sur les images pour visiter leurs sites

  • Mécénat International

    Votre principal partenaire au sein du Projet de Pandora. Il organisera pour vous avec les évènements qui vous permettront de rencontrer d’autres entrepreneurs mécènes dans d’autres pays.

    Visiter le site web

  • Borderline

    Cette association fédère les artistes en charge d’animer tous vos évènements, en France ou à l’international.

    Visiter le site web

  • Action Lumière

    Cette association mettra à votre disposition ses moyens audiovisuels pour votre communication sur réseaux sociaux.

    Visiter le site web

  • On en parle

    Cette association organise les évènements historiques dans votre région.

    Visiter le site web

Pour tous savoir sur ces évènements et les avantages que vous pourrez tirer de ce soutien,

Cliquez ici

Vous bénéficierez également du soutien de nos trois sociétés partenaires :

  • Un Bon Scénario Production

    Produit tous les films, documentaires et courts métrages s’inscrivant dans la démarche historique du Projet de Pandora et vous proposera dans le cadre d’une SOFICA de vous associer au financement ou à la promotion d’une œuvre de fiction de long ou court métrage, ou d’un documentaire.

    Visiter le site web

  • Les éditions du Mouton Noir

    Cette association édite tous les ouvrages s’inscrivant dans la même démarche.

    Visiter le site web

  • Agence Page 1

    Assure la communication de l’ensemble et pourra synthétiser les services des différentes associations pour vous obtenir le meilleur rendement en termes d’image.

    Visiter le site web

Pour tous savoir sur ces évènements et les avantages que vous pourrez tirer de ce soutien,

Cliquez ici

Par cette nouvelle approche, vous démontrerez, bien plus sûrement que par une publicité commerciale coûteuse prônant les joies de la société de consommation, votre attachement à l’avènement d’un monde plus harmonieux.

VOTRE PARTICIPATION EN PRATIQUE

Votre soutien vous donnant le statut de membre donateur, vous pourrez à ce titre :

  • Financer l’association, ou l’un des projets qu’elle soutient.

  • Soutenir en tant que sponsor ou mécène un des intellectuels, scientifiques, artistes engagés dans le Projet de Pandora.

  • Participer à ce titre à tous nos évènements culturels : Concerts, expositions, colloques, rencontres etc…

  • Rencontrer d’autres entrepreneurs décidés à s’engager dans la même voie.

  • Rencontrer les artistes et historiens membres actifs, ainsi que les principaux dirigeants de l’association, au cours de réception données en l’honneur des plus importants donateurs.

  • Enfin, bénéficier des dispositions légales de réduction d’impôts réservés aux entreprises, ou particuliers, mécènes ou sponsor.

A noter : Votre adhésion en tant que membre donateur vous permet de choisir entre tous les projets à financer. Vous pourrez donc nous contacter directement afin de rencontrer un membre de notre bureau susceptible de vous guider dans vos choix, en nous écrivant à cette adresse mail : contact@mecenat-international.com

  • De plus, vous pourrez télécharger gratuitement et sur simple demande écrite par mail, les six tomes consacrés à la trahison militaire française, ainsi que le Testament de Sidney Warburg résumant les raisons de cette trahison et établissant les parallèles avec les grands enjeux économiques actuels.

Pour adhérer à l’association,

Cliquez ici

Pour faire un don,

Cliquez ici

Pour connaître les Projets à soutenir,

Cliquez ici

Pour connaître nos partenaires,

Cliquez ici

Spectateurs et sympathisants

Spectateurs et sympathisants

Si vous désirez assister à nos conférences, rencontres et autres évènements artistiques et culturels vous avez trois possibilités:

  • Soit le spectacle est gratuit et l’entrée libre
  • Soit vous payer votre place ou votre ticket d’entrée

  • Soit vous adhérez à l’association…

Alors pourquoi adhérer ?

Parce qu’en tant que membre vous pourrez avant tout rencontrer facilement les artistes que vous admirez au cours des cocktails rencontres et autres évènements organisés par Borderline ou nos associations partenaires.

Et bien sûr vous bénéficierez de réduction sur les prix des entrées à toutes ces manifestations.

Pour tout savoir de nos évènements et de ces rencontres particulières,

Cliquez ici

Pour tout savoir sur nos associations partenaires,

Cliquez ici

Pour en savoir plus sur vos droits en tant que membre,

Cliquez ici

Pour savoir comment adhérer,

Cliquez ici

Pour tout connaître de nos évènements,

Cliquez ici

Pour connaître la programmation,

Cliquez ici