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Rejoignez les associations d’artistes et de citoyens

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Les historiens en colère ne sont pas une association structurée, mais un outil de communication, une plateforme par laquelle nous pouvons nous exprimer, selon les principes si bien posés par Barthélémy Saint-Hilaire :

« Il faut, dans la démocratie, une liberté absolue d’exprimer ce que l’on pense. Le citoyen doit à la patrie le fruit de ses méditations. Socrate passe sa vie, et la risque enfin, à conseiller ses concitoyens, qui le frappent sans le décourager. Il n’y a de limites aux conseils et aux critiques que la paix même de la Cité et l’existence de l’Etat ; Voilà pourquoi la liberté de la presse tient une telle place dans tous les états modernes qui, en devenant libres, se rapprochent de plus en plus du gouvernement modèle de la démocratie. »

De la vraie démocratie – Barthélémy Saint-Hilaire

Et nous avons bien conscience de notre isolement. Mais notre travail consiste à rechercher, à faire œuvre de fourmi, de « rat de bibliothèque », et nous consacrons tout notre temps à cela.

C’est pourquoi nous n’avons pas le temps d’organiser les rencontres pourtant indispensables que nous aimerions avoir avec vous.

Fort heureusement, grâce aux innombrables personnes qui nous soutiennent déjà depuis vingt ans, quelques projets associatifs sont en cours.

Ils permettront à chaque personne intéressée de nous rejoindre et de participer aux actions qu’elles proposeront.

En attendant de pouvoir vous inscrire à leur News Letter, et afin de vous tenir informé de ces évènements, retrouvez-nous sur le site des Éditions du Mouton noir qui vous donnera les dates des prochaines séances de signatures, et autres « cafés d’Histoire » où vous pourrez nous rencontrer.

Les éditons du Mouton noir

Quelques témoignages de soutien

Quelques témoignages de soutien

L’intention des historiens révisionnistes ayant travaillé sur les archives de la Bataille de France n’ayant jamais été de participer d’une manière ou d’une autres aux théories complotistes, nous avons envoyé à tous les hommes politiques français les résultats de nos recherches dès 2016, avec un premier courrier au président Hollande en date du 26 janvier.
Courrier accompagnant les premières conclusions tirées des archives sous forme d’un premier tirage de plusieurs centaines de pages.

L’année suivante, en vue des élections présidentielles, nous avons contacté à la fois les médias les plus connus et tous les candidats pour leur offrir les mêmes informations.

Enfin, après l’élection du président Macron, nous avons poursuivi cette politique d’information jusqu’à notre dernier courrier à son intention en date du 10 mai 2021.

Le but étant de ne provoquer à la date de parution des premiers ouvrages, aucun esclandre susceptible de nuire au bon jeu politique de notre démocratie.

De manière générale, nous avons reçu accusé de bonne réception de la part de toutes les personnes contactées, sans pour autant qu’elles aillent plus loin dans leurs réponses, ce que l’on peut aisément comprendre tant que les dits ouvrages n’étaient pas édités.

À ces premières prises de contact, s’ajoutèrent d’autres relations avec des hommes politiques étrangers, des chaines de télévisions, ou des associations de Gardiens de la Mémoire.

Voici quelques témoignages de soutien aux historiens révisionnistes et intellectuels qui dénoncent la trahison militaire et le complot mondial qui l’accompagnait :

« L’on se demande aujourd’hui, je veux dire moi, comme sans doute nombre de mes confrères historiens, comment les soupçons de trahison militaire que nous avions pourtant tous présents à l’esprit après-guerre, ne purent jusqu’ici trouver le juste chemin pour s’exprimer. L’absence d’archives, en ce temps, explique sans doute ce manque apparent de clairvoyance… (-)

En rétablissant son juste rôle historique, (celui de Rudolf Roessler) l’ouvrage de Christian Greiner offre l’inestimable avantage de rétablir une vérité que certains semblent désireux de voir tomber dans l’oubli, donc de pouvoir reconsidérer l’histoire de la Bataille de France sous un jour totalement nouveau. »

Pierre Accoce, historien et journaliste d’investigation, reporter de guerre pour le journal Ce Soir dirigé par Louis Aragon, à Constellation, enfin à l’Express. Prix Littré, prix de la Résistance, prix Raymond Poincaré.


« J’ai lu avec un vif intérêt vos observations. Elles sont utiles à ma réflexion, et je vous remercie de me les avoir faites parvenir. »

M. François Fillon – Premier ministre.


« Ayant parcouru les travaux d’Anthony Sutton et ceux d’Annie Lacroix-Riz (Le choix de la défaite notamment), je ne suis, hélas !, pas immensément surpris des conclusions auxquelles vous parvenez. Mais toute information complémentaire précise et sourcée permettant d’étayer ces découvertes sont évidemment du plus haut intérêt. »

M. François Asselineau – Candidat aux élections présidentielles


« Voltaire a dit : « Un historien est un babillard qui fait des tracasseries aux morts. » Et encore : « La fable est la sœur aînée de l’histoire. » Tes livres confirment ces citations.

Toi tu es un vrai historien qui ouvre les yeux à tout le monde qui ne veut pas être aveugle. Moi, je suis d’accord avec toutes tes conclusions. La première victime de la guerre, c’est la vérité. C’est juste. Et tu confirmes cela par tes LIVRES.

Je crois que Le Testament de Sidney Warburg sera une vraie surprise pour tous ceux qui pensent. »

Mr. Vladimir Bektov haut fonctionnaire du gouvernement russe, ex vice-gouverneur de la région de Kirov.


« Cher ami et sauveur ….
J’ai une pensée pour ma grand-mère qui adorait son frère et s’en est beaucoup occupé, et à qui je dois beaucoup, elle doit frémir là où elle est…
Je vous remercie de votre dernier envoi que j’ai parcouru. Il devrait passionner les lecteurs de polar comme les historiens, ce qu’il faut souhaiter. J’ai grâce à vous découvert qu’il existait des historiens « révisionnistes  » et je vous demanderai un jour de m’en dire plus la dessus. »

Colonel Uhrich, petit fils du général Uhrich défenseur de Strasbourg en 1870, et petit neveu du général Gamelin général en chef des armées alliées en mai 1940.


« Je vous tire un grand coup de chapeau !! Vous avez voulu vérifier toute assertion, d’où qu’elle vienne. C’est la seule bonne méthode ! Mais quel travail de bénédictin ! Surtout quand tout est fait pour dissimuler, brouiller les cartes … Je reste sans voix devant l’énormité du travail de vérification que vous avez fait en vous référant aux archives françaises, belges, allemandes, anglaises… Quel travail de lecture, d’analyse, de comparaison…

Comme je vous l’ai déjà dit, je suis en accord total avec votre analyse. La trahison était un leitmotiv quand on lisait ou discutait avec les officiers ou la troupe.

La France est informée depuis 1945, mais les directeurs de conscience que représentent les grands média, diluent l’information qui les dérange, et la rendent invisible. Ce n’est pas un hasard si neuf milliardaires les détiennent ! 

En réalité, l’esprit de Vichy est loin d’avoir disparu ! Dès la fin de la guerre, des publications ont dénoncé la trahison ! La Revue Historique des Armées a même fait paraître des articles écrits par des membres de l’état-major de Huntziger dénonçant les mensonges de ce dernier. Tous ceux qui ont écrit sur cette période y ont eu accès, l’ont lu, l’ont bien compris car c’est clair et net !! Mais ils ont suivi l’esprit cagoulard…

Curieux et inquiétant !! Les fables d’Huntziger-Georges-Pétain et Cie restent toujours la version officielle de mai-juin 40 !
Vous allez faire office de trublion (comme moi…). Soyez prudent et assurez bien votre sécurité car je crains que tous les miliciens
ne soient pas disparus : ils ont seulement changé de costume ! »

Michel Baudier, président de l’Association d’historiens et gardiens de la Mémoire : « ARDENNES 1940 à ceux qui ont résisté »


Pour commander les ouvrages déjà en vente, rendez-vous sur le site des Éditions du Mouton noir. Vous y trouverez nombre d’auteurs décidés à vous faire réfléchir !

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Petit Bilan du XXe siècle

Petit Bilan du XXe siècle

NOTA: Les textes ci-dessous sont tirés du livre: Le testament de Sidney Warburg.

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Les grands assassinats politiques qui ont marqué le siècle ont tous été commandités par ces pouvoirs occultes et leurs motivations réelles soigneusement camouflées au grand public.

Même si leur nom n’y fut jamais mêlé, les hommes qui les décidèrent avaient, quelque soit leur camp, tous les instruments occultes du pouvoir à leur disposition pour cela.


Voici quelques exemples notables, parmi des centaines :

  • François-Ferdinand de Habsbourg héritier du trône ( assassiné par Princip, nationaliste serbe en 1914 )
  • Jean Jaurès député du Tarn socialiste et pacifiste ( assassiné par Villain, nationaliste français en 1914 )
  • Louis Barthou ministre français des Affaires étrangères ( assassiné en 1934 par un Oustachi nationaliste )
  • Engelbert Dollfuss chancelier d’Autriche ( assassiné par les nazis en 1934 )
  • Léon Trotsky intellectuel et révolutionnaire russe ( assassiné par le NKVD sur ordre de Staline en 1940 )
  • Mahatma Gandhi Père de la nation indienne ( assassiné par Nathuram Godse, nationaliste indien en 1948 )
  • J.F. Kennedy Président des Etats-Unis et son frère Robert ( assassinés par la mafia et la CIA, 1963 et 1968)
  • Martin Luther King Pasteur antiségrégationniste ( assassiné en 1968 par James Earl, néo-fasciste)
  • Salvador Allende Président de la République du Chili ( assassiné en 1973 par Augusto Pinochet et la CIA )
  • Aldo Moro Président du Conseil italien ( assassiné en 1978 par les Brigades rouges commandités par CIA et SR italiens )
  • Anouar el-Sadate ( assassiné en 1981 par Khalid Islambouli nationaliste islamiste )
  • Yitzhak Rabin premier ministre israélien, prix Nobel de la Paix ( assassiné en 1995 par un extrémiste juif )
  • Boris Nemtsov opposant à Vladimir Poutine ( assassiné par deux «inconnus» à Moscou en 2016 )

Et toutes les guerres ont procédé de la même logique. L’étude de M. Milton Leitenberg, travaillant sous l’égide de l’institut néerlandais de relations internationales, nous propose le chiffre à la fois pharamineux, et insaisissable pour l’esprit humain, de 231 millions de victimes de conflits, au cours du seul XXe siècle.

Partant de ces chiffres universellement acceptés et reconnus, je propose, afin d’échapper à leur abstraction, d’établir une courte nomenclature des plus marquants :

  • Entre 1900 et 1908: 4 millions de morts au Congo belge. Soit le prix d’une colonisation réussie et de l’accès aux fabuleux gisements diamantifères et autres matières premières de ce pays.
  • De 1909 à 1916: La révolution mexicaine fera 1 million de victimes, un de ses enjeux, outre une meilleure répartition des terres, fut la concession des champs pétrolifères, finalement obtenue par la Standard Oil de Mr. Rockefeller.
  • Entre 1914 et 1918: La Première Guerre mondiale fut provoquée principalement par l’Angleterre et la France, afin d’empêcher l’Allemagne, puissance émergeante, de s’approprier certaines autres colonies au détriment des grands Empires existants, et de s’ouvrir une route vers l’est et la Chine. Bilan officiel: Entre 13 et 15 millions de morts. Le conflit enrichit de manière colossale la même Standard Oil ainsi que, côté britannique, la Shell de Mr HenriDeterding, et de manière générale les trusts d’armements que nous retrouvons au cœur de tous les conflits du siècle.
  • De 1915 à 1916: Le génocide arménien coûtera la vie à 1,2 millions d’individus.
  • De1918 à 1922: La guerre civile en Russie fera plus de 12,5 millions de victimes. Un des enjeux majeurs de ce conflit «oublié» fut pour les pays occidentaux qui y participèrent ( USA, Grande-Bretagne et France ) le libre accès aux immenses richesses, notamment pétrolières de ce pays. Là encore, la Shell et la Standard Oil, mais également les autres trusts qu’ils contrôlaient, furent au premier rang des intéressés.
  • Dans les années 1930: Le Goulagen URSS, la famine en Ukraine (6millions de morts), et l’invasion japonaise en Chine ont fait d’autres millions de victimes. Pour les Japonais il s’agissait de s’ouvrir l’accès aux matières premières, que recelait la région la plus riche de Chine.
  • De 1936 à 1939: La guerre civile espagnole a fauché 600 000 âmes. Pour prix de sa participation au conflit, Hitler obtint un accès quasi illimité aux mines de métaux précieux du pays, facteur essentiel de l’effort de réarmement du Reich nazi.
  • Entre 1939 et 1945, la Seconde Guerre Mondiale a causé à elle seule entre 65 et 75 millions de morts. Là encore, le but de guerre fut la fin du régime communiste en URSS, et donc la réouverture du marché russe à la «libre entreprise», c’est-à-dire l’exploitation sans limite des richesses du pays par les grandes compagnies multinationales.
  • Au début des années 1950, la guerre de Corée coûtera 2 à 5millions d’êtres humains. Elle fut le premier conflit d’une guerre froide qui se poursuivra jusqu’en 1989, ajoutant des millions de victimes sur des dizaines de fronts «mineurs».
  • De 1962 à 1975, la seule guerre américaine portée au Vietnam et pays voisins, coûtera la vie à un million de combattants communistes et 4 millions de civils, rien qu’au Vietnam.
  • Dans le même temps les guerres de libération: Indochine, Algérie apporteront leur contingent.
  • Entre 1949 et 1976: 46,5 millions de Chinois vont être tués dans les différentes campagnes sous la dictature communiste chinoise de Mao Zedong. Chiffre résultant, comme en URSS, tant des combats opposant les armées communistes et «anti-communistes», que des différentes famines provoquées par la gestion désastreuse de ces pays et le blocus des puissances capitalistes. Là encore, le seul véritable motif était la réouverture d’un marché fermé à l’exploitation des trusts et cartels internationaux.
  • Puis, entre 1969 et 1970, il y eut les 2 millions de morts de la guerre civile du Nigéria-Biafra. L’enjeu pour les grandes puissances armant les belligérants étant une fois de plus le libre accès aux richesses minières de ces pays. Cette logique provoqua en sous-main:
  • En 1971, le million et demi de victimes pour l’indépendance du Bangladesh.
  • Entre 1975 et 1979 l’extermination de1,5 à 2,5 millions de Cambodgiens par les Khmers Rouges de Pol Pot. Cette fois «bavure» idéologique communiste…
  • De 1980 à 1988: Ce sont entre 500 000 et 1,2 millions de victimes pendant la guerre Iran-Irak. L’enjeu: L’accès au pétrole. Principaux intéressés: La Shell, la Standard-Oil, ses nombreuses sociétés écrans, et toujours les plus grands trusts marchands d’armes.
  • Entre 1983 et 2000: 2 millions de morts au Soudan. 800 000 au Rwanda et 350 000 en Somalie. Une nouvelle fois, les conflits furent voulus, organisés et financés par les mêmes intérêts.

Pour finir ce court exposé en beauté, M. Milton Leitenberg nous rappelle que la seule période1914-1947fut « la période la plus meurtrière de toute l’Histoire de l’humanité avec 100 à 200 millions de morts violentes sur une planète alors peuplée d’environ 2 milliards d’êtres vivants.»

Voilà pour le seul XXe siècle. 

En réalité, ces guerres, comme toutes celles ayant existé depuis le début de l’humanité n’ont jamais eu d’autres causes que l’appât du gain. Qu’on ait tenté de s’emparer du plat de lentille originel, ou des terres, des femmes, des esclaves, des richesses de ses voisins, personne, jamais, n’a fait la guerre pour un autre motif. Le seul moteur assez puissant pour entraîner de telles prises de risques, et de tels massacres, est, et sera toujours, la rapacité de certains, et le manque total de scrupules des dictateurs, des politiciens, et de tous ceux qui leur sont inféodés.

Ainsi, le mensonge préside en politique. Aucun, ou presque, de ses acteurs n’hésite un instant à mentir aux électeurs aussitôt qu’il l’estime nécessaire, légitimant ce mensonge par l’adage «Qui veut la fin veut les moyens» et, comme au bout du compte c’est le candidat qui porte la solution et va «sauver le pays», ou «redresser la situation», après tout qu’importe la morale la plus élémentaire.

D’ailleurs les Peuples sont aujourd’hui si accoutumés aux mensonges que le journal Le Point, au moment des élections présidentielles françaises de 2012, en fut réduit à titrer : «Qui ment le moins?»…

Dans le même ordre d’idées, il est de notoriété publique que la dissimulation ne sert pas que leurs intérêts personnels, ou même ceux de puissants groupes de pression, mais qu’elle est une composante essentielle du fonctionnement des États, et ceci quel que soit le parti, ou l’homme, au pouvoir, quelle que soit même la forme de gouvernement adoptée par le pays. Du totalitarisme le plus débridé à la démocratie la plus ouverte, en passant par les républiques bananières, ou les gouvernements «révolutionnaires» tous, sans la plus petite exception, ont adopté le principe du «secret d’Etat», comme fondement nécessaire à la bonne marche du monde. En réalité, tous les hommes parvenus à la tête de ces Etats mentent dans le seul but que rien ne change à la logique qui les a menés au pouvoir.

Là encore, la Vérité n’est pas un dû. Les Peuples sont, abusés, trahis.

Et pour reprendre notre refrain : Nul n’en ignore.


Fin de citation (Le testament de Sidney Warburg)

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Participez dès à présent à notre communication

Participez dès à présent à notre communication

Nous avons la chance d’avoir depuis quelques mois le soutien de nombreux « jeunes » familiers des réseaux sociaux, qui se sont amusés à réaliser des affiches, des clips historiques et mêmes quelques clips satiriques qu’ils devraient diffuser sur le Net au printemps 2021, au moment précis où nous ouvrirons ce site et mettrons les premiers ouvrages en vente.

Et nous les en remercions de tout cœur.

Leur but, outre ce soutien, était de vous offrir de participer à cette joyeuse forme d’expression en créant à votre tour quelques clips humoristiques. Car sans cette forme précieuse de savoir vivre, comment communiquer sur un sujet si dramatique et actuel ?

Le moins était donc de relayer leur appel et de vous offrir la possibilité de vous exprimer sur un sujet bien plus inspirant qu’il n’y parait, car avouons que de s’être fait berner à ce point et si longtemps ne laisse plus d’autre alternative que de rire de soi-même.

Rejoignez-nous donc sur nos réseaux sociaux, vous y trouverez tous les liens utiles pour vous joindre à la fête.


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Les questions laissées sans réponses par les théoriciens du « Blitzkrieg »

Les questions laissées sans réponses par les théoriciens du « Blitzkrieg »

« Le blitzkrieg reposait sur l’existence « d’ennemis obligeants » qui ne feraient pas simplement des erreurs mais les bonnes erreurs. »
Fin de citation (D.E. Showalter 1940 Défaite française, victoire allemande sous l’œil d’historiens étrangers page 38)

Soit, en opposition à la thèse du Blitzkrieg « incompréhensible » de M. Frieser, le fondement d’une trahison en bonne et due forme …

Ainsi, la révélation de la trahison militaire française de mai-juin 1940 permet d’allonger la liste des questions laissées irrésolues, par les « experts » accrédités :

  • Pourquoi, depuis l’ouverture des archives de la Bataille de France en l’an 2000, plus aucun des historiens ayant établi leur réputation et diffusé tant d’ouvrages sur cette bataille ont-ils soudain renoncé à écrire sur le sujet ?

  • Pourquoi l’État français n’a-t-il pas restitué, en même temps que ces archives, toutes celles qu’il a volé sous Vichy et dans l’immédiat après-guerre ?

  • Pourquoi aucune enquête n’a-t-elle été menée depuis quatre-vingts ans concernant les fantassins des « sections spéciales cagoulardes » et leurs chars « fantômes » qui attaquèrent à revers les blockhaus français sur les hauteurs de Sedan le 13 mai 1940 ?

  • Pourquoi ces blockhaus ont-ils été dynamités pendant l’occupation, si ce n’est pour tenter d’effacer toute trace de ces attaques de revers ?

  • Pourquoi Hitler a-t-il imposé pendant la même période une « zone interdite » s’étendant depuis Sedan jusqu’à Dunkerque, tout au long de ce qu’on a appelé plus tard « le corridor des Panzer » ?

Interdiction qui laissait des centaines de cadavres pourrir sur place sans pouvoir être inhumés !
Serait-ce parce que quelques curieux auraient pu y découvrir des hommes et des chars qui n’avaient rien à faire là ?


  • Pourquoi les principaux chefs militaires, tous membres ou sympathisants de la Cagoule, à l’origine de l’effondrement des armées françaises en 1940, furent-ils nommés à des postes importants sous Vichy et décorés de la francisque ?

  • Pourquoi Pétain, parfaitement identifié, par les enquêtes de police et les services secrets, comme étant le chef occulte de la Cagoule militaire, fut-il blanchi par Daladier qui jeta personnellement son dossier au feu afin qu’il n’en subsiste aucune trace ?

  • Pourquoi Marx Dormoy, ministre de l’intérieur du front populaire qui avait ordonné ces enquêtes sur le complot cagoulard fut-il dans un premier temps arrêté par Vichy, puis assassiné par la Cagoule ?

  • Pourquoi en Allemagne, après Nuremberg, s’est-on dépêché d’exécuter tous ceux qui auraient pu témoigner ?

  • Pourquoi en France, a-t-on organisé des procès truqués, menés tambour battant par leurs anciens complices, et dans certains cas, comme pour Laval, en organisant de véritables assassinats judiciaires, si ce n’est dans le seul but de faire taire ceux qui auraient eu la possibilité de révéler une certaine vérité ?

  • Pourquoi a-t-on retrouvé, quelques années après la guerre, nombre de collaborateurs de Vichy, parmi les plus coupables, à des postes clés de différents appareils d’Etat de la Ve République ?

  • Pourquoi des centaines d’anciens nazis furent-ils hissés à des postes tout aussi importants en Allemagne ?

  • Pourquoi les Services secrets américains engagèrent-ils d’anciens nazis après leur avoir permis d’échapper à l’épuration ?

  • Pourquoi aucun des « théoriciens du Blitzkrieg » n’a-t-il, pendant quatre-vingt ans, accordé le moindre crédit aux ouvrages des généraux français et étrangers qui dénonçaient clairement la trahison militaire ?

Enfin ultime interrogation : Si les historiens choisissaient demain de répondre à ces questions, la compréhension du monde dans lequel nous vivons n’en serait-elle pas totalement bouleversée ?

Les médias bloquent l’information

Les médias bloquent l’information

Les chercheurs, historiens et autres lanceurs d’alertes bâillonnés.

Comment expliquer une telle mainmise sur l’information ?

De nos jours, on ne brûle plus les livres interdits, pourtant curieusement dans notre société hyper informée, rien n’est plus aisé que faire disparaître une information, tout simplement en l’occultant dans les médias.
Pour s’en convaincre, il suffit de lire les témoignages des universitaires les plus reconnus tel Antony C. Sutton, économiste et historien britannique, chercheur à Stanford et professeur à l’UCLA qui fut un des premiers, dans les années soixante, à révéler la part prise par les banquiers et industriels américains dans l’accession au pouvoir d’Hitler et l’effort de guerre du IIIe Reich, ou Alice Teichova, professeur à l’université East Anglia au Girton College de Cambridge et à l’Ecole des Sciences économiques et politiques de Londres, qui a retrouvé les ramifications britanniques et européennes du système financier nazi en Europe, ou encore Adam Tooze, enseignant à Yale, qui révéla la vérité sur l’économie allemande de l’entre-deux guerre, Edwin Black qui mit à jour la part prépondérante prise par IBM dans la conduite de la guerre et l’Holocauste, ou Joseph Borkin qui osa s’attaquer aux crimes de l’IG Farben, c’est-à-dire la société Standard Oil de J.D. Rockefeller Junior. Tous eurent, comme nombre de leurs collègues universitaire « révisionnistes », à subir des pressions constantes et variées ainsi qu’en témoigne Sutton :

« Malgré leur Constitution et ses contraintes supposées, les États-Unis sont devenus un Etat quasi totalitaire. Si les signes extérieurs de la dictature ne sont pas encore visibles et que les camps de concentration, et autre agents du pouvoir venant frapper à notre porte à minuit, ne sont pas notre quotidien, les détracteurs de l’establishment font cependant l’objet de menaces. Des actions sont menées contre eux, telles que l’utilisation des services fiscaux pour faire rentrer dans le rang les dissidents, ou encore la manipulation de la Constitution par un système judiciaire subordonné à cette élite. (-) À travers des maisons d’édition contrôlée par cette même élite financière, les livres gênants passent à la trappe et les livres « utiles » sont mis en avant. (-) Le résultat global de cette manipulation de la société par l’Establishment a été le déclenchement de quatre guerres de grande ampleur en 60 ans, une dette nationale écrasante, l’abandon de la constitution, la suppression de liberté et d’opportunités, et la création d’un immense gouffre de crédibilité entre l’homme de la rue et ses dirigeants politiques.

Anthony Sutton

Le dispositif transparent de deux partis principaux claironnant des différences artificielles, des conventions dignes des jeux du cirque, et le cliché de la politique étrangère plus partisane, n’est quant à lui plus du tout crédible. Et l’élite financière, qui reconnaît elle-même que sa politique n’emporte pas l’adhésion du public, est de toute évidence prête à suivre son chemin en solo, sans le soutien symbolique de ce public. Les preuves apportées par les historiens révisionnistes constituent l’arrête de ce débat, les fondements de nos accusations de subversion. Lentement, au fil des décennies, livre après livre, pratiquement ligne après-ligne, la vérité sur l’histoire récente émerge au fur et à mesure que les documents sont publiés, examinés, analysés et organisés dans un cadre historique plus valide. » ( Antony Sutton – Wall Street et l’ascension d’Hitler).

Ce texte date de 1976. Pourtant, quarante ans plus tard la situation n’a pas évolué d’un pouce, empirant au contraire. Ainsi, en 2013, au Canada cette fois, l’historien Jacques Pauwels, de l’université de Toronto, se plaignait des mêmes entraves sourdement opposées à la liberté d’information par ces quelques lignes en conclusion de son livre : « L’histoire, c’est de la foutaise » a dit un jour Henry Ford. Le Big Business dispose de l’argent nécessaire pour faire écrire les livres et les diffuser à grande échelle. Ce travail est mis au point par des auteurs triés sur le volet, dont les entreprises peuvent attendre sympathie et compréhension, et ces auteurs savent ce qu’on attend d’eux en échange de plantureux honoraires. Dans ces livres, par conséquent, il n’est généralement pas du tout question de thèmes potentiellement désagréables. Nous pouvons qualifier ces ouvrages « d’antiseptiques ». Dans les histoires plus ou moins officielles des grandes entreprises américaines, par exemple, il n’est presque jamais question du rôle de leurs filiales en Allemagne pendant la guerre. (-) Des études antiseptiques ont été produites pour le compte de Ford, General Motors, Volkswagen, Krupp, Allianz, Daimler-Benz, Deutsche Bank, Degussa, Dresdner Bank, Flick et Bertelsmann. Ce n’est pas un hasard si de tels auteurs n’éprouvent aucune difficulté à dénicher rapidement une grande maison d’édition désireuse de publier leur travail.

Jacques Pauwels

L’écrasante majorité des grandes maisons d’édition américaines et allemandes sont, soit des entreprises gigantesques et donc des membres bona fide du Big Business, soit la propriété de holdings dont les grandes entreprises possèdent de gros portefeuilles d’actions. Les manuscrits d’études critiques sont, quant à eux, presque toujours refusés par ces éditeurs. Des livres dans lesquelles les sujets délicats sont évités, ou habilement justifiés, peuvent par contre se trouver des semaines durant dans les vitrines des grandes librairies qui, très souvent, sont des filiales, ou des associées des grandes maisons d’édition. Des études critiques sont généralement difficiles, voire impossibles à dénicher dans ces librairies. Et ce phénomène commence à se répandre en Europe. Les grandes maisons d’édition liées au big business, qui publie des études non critiques à gros tirage, peuvent se payer ce service. » (Jacques Pauwels Big business avec Hitler).

Ce qui permet d’oublier les recommandations des plus éminents représentants de cette respectable profession :

« L’écriture de l’histoire, consiste en une révision sans fin du passé. La réalité effective de l’histoire demande à être envisagée en même temps que ses possibilités ». John Lukacs

« Toute vérité est bonne à dire pour l’historien, même et surtout celle qui dérange les préjugés, heurte des idées reçues ou des intérêts partisans. » Raymond Aron

Et celles de quelques hommes raisonnables :

« Partout où le hasard semble jouer à la surface, il est toujours sous l’empire de lois internes cachées, et il ne s’agit que de les découvrir. » Friederich Engels

Car le véritable complot des médias et des éditeurs aux ordres du Grand capital noir ne fut pas d’interdire aux historiens révisionnistes et aux intellectuels de travailler, mais de paraître se désintéresser de leurs travaux, de les reléguer dans les poubelles de l’information et, au mieux, de ne les évoquer que dans des émissions de télévisions « élitistes », ou dans des documentaires diffusés aux heures les plus avancées de la nuit. 

Car tous savent depuis toujours que :

« Celui qui a le contrôle du passé, disait le slogan du Parti, a le contrôle du futur. Celui qui a le contrôle du présent a le contrôle du passé. » 1984 George Orwell

et que le « bas Peuple » doit être maintenu dans l’ignorance.

Notre chaîne YouTube : on vous dit tout

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Avant de vous lancer, laissez-nous vous expliquer comment vous y retrouver …

Vous trouverez sur notre chaine YouTube les interviews et documentaires qui vous permettront d’analyser aisément les sept pièces manquantes du puzzle.

Tout savoir sur les nouvelles données historiques

  • La trahison militaire française

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Les micro-trottoir sur la trahison militaire

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Les questions économiques et géopolitiques laissées sans réponses par l’histoire officielle

Les questions économiques et géopolitiques laissées sans réponses par l’histoire officielle

« On croit mourir pour la patrie : on meurt pour des industriels. »

Anatole France,   L’Humanité, 18 juillet 1922

Cette vérité élémentaire, si profondément ressentie par les Peuples et tant combattue par les médias sous prétexte de théorie complotiste, n’a, pour être démontrée, qu’à tenir compte des faits et archives, et surtout des étranges « blancs » laissés par les théoriciens de l’absurde.

En réalité, chacun de nous se doute bien qu’écarter volontairement de l’Histoire les enjeux économiques, est révélateur de la volonté de brouiller les pistes. Nous savons tous qu’il faut chercher « à qui profite le crime » !

Les questions toujours sans réponses en 2021

Ce que par contre le grand public, ne sait pas, c’est l’extraordinaire violence avec laquelle ces mensonges d’État sont imposés.

Ainsi, en 2021, et si l’on ne considère que la période 1919-1945, les réponses aux questions suivantes, bien que connues des experts et historiens, n’ont toujours pas été fournies au grand public :

  • Pourquoi les « experts » de toute obédience ont-ils « oublié » que le réarmement de l’Allemagne, commencé en URSS en 1923, en vertu des clauses secrètes du traité de Rapallo, fut financé et réalisé par les banques et les trusts anglais et américains qui avaient massivement investi dans l’industrie allemande et soviétique ?
  • Comment se fait-il que les gigantesques complexes d’armements « secrètement » installés en URSS, par ces mêmes compagnies, aient pu construire, entre 1922 et 1934, et ceci en parfaite violation des traités internationaux, les munitions, bombes, armes chimiques, avions, canons, chars, navires de guerre, et autres sous-marins, dont Hitler allait se servir à partir de 1937, pour mener ses campagnes ?
  • Pourquoi les historiens n’attachent-ils apparemment aucune importance à ce qui fut pourtant pendant plus de 10 ans, une violation flagrante du traité de Versailles et une atteinte majeure aux politiques de détente et de désarmement menées tant par la Société des Nations, que par le mouvement pan-européen de Richard Coudenhove-Kalergi ?
  • Comment est-il possible qu’une petite frappe invertie du quartier de Schwäbing à Munich, sans idéal, ni culture et qui n’avait rien d’un guerrier, soit parvenue au pouvoir ?
  • Pourquoi, alors qu’il avait passé 4 ans de guerre comme estafette d’état-major, loin des combats, Hitler est-il toujours considéré aujourd’hui, par beaucoup d’historiens, comme un « héros de la Grande guerre » ?
  • Pourquoi les mêmes historiens oublient-ils son engagement politique, alors qu’il était soldat de la république communiste de Bavière en 1920, élu convaincu d’une section communiste dans son régiment, et virulent au point d’être surnommé « Addi le Rouge » ?
  • Pourquoi soustraire de tout raisonnement que le futur chef du parti nazi (NSDAP) dénonça tous ses camarades, les amenant au poteau d’exécution, lors de l’effondrement de cette république, afin de sauver sa vie ?
  • Pourquoi afficha-t-il par la suite une haine si apparente à l’égard du communisme ?
  • En vertu de quelle logique a-t-on cru nécessaire d’« oublier » qu’il fut chargé par les dirigeants de la droite nationaliste des services secrets de l’armée, donc des grands trusts – sans doute séduits par les capacités d’adaptation exceptionnelles de leur nouveau protégé – de noyauter le NSDAP, puis d’en prendre la tête ?
  • Comment Hitler, alors simple candidat politique sans fortune personnelle, a-t-il pu financer les salaires et charges sociales, d’une armée privée de 3 millions d’hommes et les centaines de meeting à grand spectacles qui ont fait sa renommée, dans un pays ruiné par ses dettes de guerre et les crises successives ?
  • Comment se fait-il qu’il ait pu réarmer l’Allemagne, remilitariser la Rhénanie, réaliser l’Anschluss avec l’Autriche après avoir fait assassiner son Chancelier, s’emparer ainsi des réserves d’or, des armements, des matières premières et des usines autrichiennes, sans tirer un coup de fusil ? Tout ceci avec une armée d’opérette ?
  • Qui lui a permis d’appuyer militairement Franco en Espagne, s’ouvrant ainsi l’accès aux minerais rares des mines espagnoles, puis de s’emparer de la Tchécoslovaquie et faire main basse sur son économie, sans que les grandes puissances démocratiques lèvent le petit doigt ?
  • Pourquoi le Parti Communiste Allemand, suivant en cela les ordres de Staline, aida-t-il le Parti nazi à accéder au pouvoir en le soutenant, lors de trois élections majeures ?
  • Pourquoi Kurt von Schleicher, le « général social » qui avait présidé, sous la République de Weimar, au réarmement secret de l’Allemagne et au rapprochement germano-soviétique, fit-il octroyer, sur conseil appuyé de Staline, quarante millions de marks aux nazis, dans le but de financer la campagne électorale d’Hitler, alors que le parti était au bord de la faillite ? Son assassinat lors de la Nuit des Longs couteaux fut-il le moyen de faire disparaitre un témoin gênant ?
  • Comment est-il concevable que les échanges commerciaux, et notamment la fabrication d’armes par les usines allemandes sur le territoire soviétique, aient continué entre l’URSS et le Reich nazi, pourtant ennemis déclarés depuis 1933 ?
  • Pourquoi Staline engagea-t-il secrètement un rapprochement avec le IIIe Reich, dès 1935, alors qu’officiellement Hitler se présentait comme le champion de la lutte anticommuniste ?
  • Pourquoi Staline élimina-t-il de son armée et de son gouvernement, tous les opposants à ce rapprochement au cours des « purges sanglantes » de 1937 ?
  • Pourquoi Heydrich et les services secrets nazis l’aidèrent-ils dans cette tâche, en fabriquant notamment les faux documents qui permettront de faire condamner à mort le Maréchal Toukhatchevski, et les autres partisans d’une alliance Anglo-soviétique ?
  • Pourquoi les techniciens et ingénieurs allemands continuèrent-ils à travailler secrètement en URSS, dans les usines et entreprises allemandes et anglo-saxonnes, après l’avènement au pouvoir d’Hitler ?
  • Pourquoi le gouvernement français, lui aussi parfaitement averti du réarmement secret de l’Allemagne depuis 1923, ne fit-il rien pour le combattre ?
  • Pourquoi les grands métallurgistes lorrains, même les plus irréductibles adversaires de l’Allemagne, comme Mr. de Wendel, continuèrent-ils à fournir à leurs homologues allemands Krupp ou Thyssen, même après la prise de pouvoir des nazis, tout l’acier nécessaire pour fabriquer leurs armes, et ceci jusqu’en 1939 ?
  • Pourquoi le charbon de bonne qualité dont ces aciéries avaient besoin fut-il livré dans les mêmes conditions et sans la moindre restriction, par les industriels anglais ?
  • Pourquoi la Suède n’appliqua-t-elle aucune limite sur l’exportation de son acier ?
  • Pourquoi l’Angleterre et les États-Unis ont-ils agi, dès 1920, pour isoler politiquement la France et se dégager des engagements militaires pris envers elle, laissant leur « Allié » seul face au danger allemand ?
  • Pourquoi la « petite alliance » unissant la France et les pays des Balkans, ou encore l’alliance franco-russe, furent-elles diplomatiquement combattues par les Britanniques ?
  • Pourquoi les Anglais ont-ils obstinément refusé d’envisager une alliance avec la Russie de 1917 à 1939 ?
  • Comment se fait-il que, quelques jours avant la signature du désastreux traité de Munich, Chamberlain, parfaitement renseigné à trois reprises par les généraux allemands qu’Hitler allait être assassiné et le parti nazi décapité, se soit précipité dans un avion, sans même consulter son propre gouvernement, pour atterrir à Berlin et sauver ainsi, en parfaite connaissance de cause, la vie du dictateur ?
  • Comment les historiens de toute obédience ont-ils pu écarter de leur raisonnement que quelques jours avant l’invasion de la Tchécoslovaquie, au moment où la Bourse de Prague logiquement s’effondrait, les plus grands trusts mondiaux se précipitèrent pour racheter à prix bradés les actions des plus grandes banques et entreprises tchèques ?
  • Que ce processus enrichit de la même façon les mêmes trusts « vautours », au moment des autres conquêtes hitlériennes ?
  • Que les investissements de la filiale allemande d’Unilever, géant industriel britannique, passèrent de 20 millions de livres sterlings en 1930 à 37 millions en 1939 et que la période d’investissement la plus intense correspond très exactement au rachat des entreprises juives, après l’Anschluss, puis au « coup de Munich », enfin à celui de Prague ?
  • Pourquoi les historiens omettent-ils de rappeler que la France, seconde puissance coloniale après l’Empire britannique, était depuis la fin des années vingt, la seconde puissance financière mondiale, qu’elle possédait la plus grande réserve d’or après les Etats-Unis, et en 1939 la plus puissante armée d’Europe ?
  • Pourquoi alors que la Banque de France s’était portée depuis des années au secours de la livre sterling en pleine débâcle, le ministre des Finances britanniques décida-t-il, deux jours après avoir supplié ses homologues français de racheter encore quelques millions de livres, de dévaluer sa monnaie, faisant perdre ainsi des millions de franc or, à la Banque de France en un weekend ?
  • Pourquoi l’Angleterre n’a-t-elle réarmé que partiellement et tardivement, obligeant ainsi la France à réarmer dès 1932, et donc à affaiblir ses finances ?
  • Pourquoi le gouvernement britannique signa-t-il, en 1935, sans consulter ses alliés français, un traité naval permettant à Hitler de reconstruire une flotte de guerre, là encore en parfaite contradiction avec les dispositions du traité de Versailles ?
  • Pourquoi laisse-t-on encore croire au grand public que l’armée allemande était parfaitement armée et à la pointe de la technique, alors que le Reich ne pouvait plus financer son programme de réarmement depuis 1937 ?
  • Pourquoi Staline signa-t-il l’accord germano-soviétique avec une telle hâte en août 1939, alors qu’il avait parfaitement conscience que, quelques semaines plus tard, l’attaque d’Hitler en Pologne aurait dû être différée de plusieurs mois à cause de l’arrivée des pluies d’hiver ? – Serait-ce parce que cette « précipitation malencontreuse » permettant aux forces du Reich de surprendre les Polonais dans leur mobilisation, prenait du même coup les Français de court dans leur effort de réarmement, et donnait aux nazis la possibilité de s’emparer des usines et des armes polonaises afin de compléter leur armement en vue du fameux « Blitzkrieg » ?
  • Pourquoi Staline a-t-il refusé, en 1941, pendant près de 24 heures, de croire à l’attaque allemande contre son pays, jusqu’à ce qu’il ait reçu la déclaration de guerre officielle ?
  • Pourquoi Hitler s’attaqua-t-il à l’URSS en refusant de mener une campagne antibolchévique, qui lui aurait assuré le soutien de la population et l’enrôlement de divisions russes anticommunistes, si son objectif était réellement d’éradiquer le communisme ?
  • Pourquoi les historiens « oublient-ils » si facilement les deux trahisons commises envers la Tchécoslovaquie, puis la Pologne, par les gouvernements britanniques et français ? Deux pays auxquels ceux-ci étaient liés par de nombreux traités donnant toutes garanties d’intervention militaire, en cas d’attaque allemande…
  • Pourquoi a-t-on fait disparaître de l’histoire officielle les débuts d’une Europe officiellement fondée à Bruxelles par les cartels de l’acier, du charbon et de la chimie, le 30 septembre 1926 ?
  • Pourquoi, en 2021, les experts gardent-ils toujours le silence concernant la cartellisation de toute l’économie européenne et la répartition des zones d’influence de chacun de ces cartels dans le monde ?
  • Pourquoi a-t-on également gardé secret le rôle tenu, par ces mêmes cartels européens dans les années vingt et trente pour se protéger de la concurrence industrielle des États-Unis et assurer l’indépendance politique de l’Europe, face aux exigences américaines ?
  • Pourquoi les historiens continuent-ils à prétendre que le « coup de Prague », le 15 mars 1939, avait déterminé Chamberlain à ne plus traiter avec Hitler, alors qu’en juillet de la même année, soit moins de deux mois avant le déclenchement des hostilités, son principal conseiller, Wilson, et son ministre du commerce Hudson, négociaient un prêt d’un milliard de livres sterling au Reich nazi, ( soit 200 milliards de livres sterling en valeur actuelle ), l’abandon des garanties données à la Pologne, et la répartition des zones d’influence réciproques dans le monde ?

    « Zones d’influences » correspondant à celles des cartels en charge de créer le « nouvel ordre mondial ».

  • Pourquoi Montagu Norman, à la fois Président de la Banque d’Angleterre et directeur de la Banque des Règlements Internationaux (BRI), livra-t-il l’or de la banque centrale de Tchécoslovaquie à Hitler, alors que rien ne l’y obligeait, et ceci en parfait désaccord avec les conventions signées avec cet État ?
  • Pourquoi ce même Montagu Norman ne fut-il jamais inquiété, alors qu’il fut, tout au long des années trente, le soutien indéfectible de Hjalmar Schacht, nazi déclaré et Président de la Reichsbank, qui organisait la monnaie et l’économie d’un Reich, alors en plein réarmement ?
  • Pourquoi les historiens ne voient-ils en Herman Goering qu’un drogué extravagant, alors qu’entre 1934 et 1939, il est devenu un des hommes les plus riches du monde avec son cartel la « Herman Goering Werke ? »

    Un Cartel d’envergure mondiale, aux multiples ramifications internationales, dont on ne trouve curieusement plus trace dans l’historiographie.

  • Pourquoi a-t-on « oublié » que les plus grands industriels français ont livré l’acier et les matières premières indispensables au réarmement du Reich nazi jusqu’à la déclaration de guerre ?
  • Pourquoi cette amnésie concerne-t-elle également les pays soi-disant « neutres » qui participèrent de la même manière à ce réarmement massif ?
  • Comment se fait-il que les mandataires des principaux dirigeants des plus grands trusts américains se soient retrouvés à la tête des industries de guerre allemande ? Ceci tant en URSS à partir de 1923 où des milliers de déportés des Goulags allaient mourir dans leurs usines, que par la suite en Allemagne nazie, au cœur même des camps de concentrations, où là encore des milliers de déportés allaient mourir pour enrichir les actionnaires de ces firmes ?

Je parle ici de Ford Allemagne, de IG Farben, de IBM, de General Motors (Opel), d’ITT, d’AEG et de centaines d’autres usines officiellement « allemandes » mais à capitaux à 80 % ou 100% américains dont les intérêts étaient souvent très fortement liés au Cartel Herman Goering Werke et dont les membres des conseils d’administrations s’appelaient, entre autres, Bush et Kennedy, respectivement pères et grand père de trois Présidents des États-Unis.

  • Pourquoi omettre de rappeler que le futur président Roosevelt fit fortune dans les années vingt en créant une agence de placement de fonds américains, en Allemagne ?
  • Pourquoi messieurs Dawes et Young furent-ils choisis pour établir les plans d’aide économique à l’Allemagne alors qu’ils appartenaient à certains comités de direction des grands cartels américains déjà cités ?
  • Pourquoi 80% des capitaux attribués à l’Allemagne en vertu de ces plans Dawes et Young furent-ils en fait attribués à ces mêmes entreprises américaines, elles-mêmes associées au Cartel géant : Herman Goering Werke ?
  • Comment expliquer que, dès l’arrivée d’Hitler au pouvoir, en 1933, les États-Unis augmentèrent leurs livraisons de pétrole au Reich hitlérien en plein réarmement, quadruplant ces livraisons entre 1933 et 1939, si ce n’est pour permettre à leurs usines d’armement de tourner à plein rendement ?
  • Pourquoi J.P. Morgan, le banquier le plus puissant de Wall Street, a-t-il choisi John Foster Dulles, à ce moment avocat d’IG Farben et qui sera en 1926, directeur exécutif de Sullivan and Cromwell, le cabinet d’avocats de tous les cartels américains, pour organiser l’implantation de ces trusts au cœur de l’économie européenne ?
  • Pourquoi Hjalmar Schacht, ministre des finances d’Hitler en charge de financer le « miracle » du réarmement allemand resta-t-il en relation constante avec J.F. Dulles tout au long de son mandat ?
  • Pourquoi le frère de ce dernier, Alan Dulles, fut-il nommé à la tête des services secrets américains en Suisse, si ce n’est pour veiller dans l’ombre à la bonne marche des relations commerciales entre les USA et le Reich ?
  • Comment a-t-on pu « oublier » qu’IBM New-York, (à dirigeants et capitaux 100% américains) a fourni aux nazis dès 1934, puis tout au long du conflit, les fiches perforées, les ordinateurs et les techniciens nécessaires pour recenser et ficher les Juifs (remontant jusqu’à la 4e génération), ou encore les opposants et les handicapés mentaux et physiques, promis à la stérilisation ou à l’élimination ?
  • Que ces machines, louées par IBM à prix d’or au Reich, et utilisées au cœur des camps de concentration, furent des éléments essentiels à la bonne gestion et à l’application de la Shoa ?
  • Que ces mêmes ordinateurs permirent dans le même temps de répertorier et ficher toutes les richesses industrielles, commerciales et privées des pays occupés, afin d’en organiser le pillage systématique, d’organiser la logistique de l’armée dans ses moindres détails, ou encore les fichiers de la Gestapo et des différents services de répression et de contrôle du peuple allemand…

    Tâche totalement impossible sans les machines d’IBM et fondement même de la mythique « efficacité » allemande.

  • Pourquoi le 13 décembre 1941, deux jours seulement après la déclaration de guerre du Reich aux États-Unis, Roosevelt promulgua-t-il, très discrètement, un décret présidentiel permettant aux entreprises américaines de contourner l’embargo en direction du Reich nazi, afin qu’ils puissent continuer de faire des affaires avec les pays de l’Axe, comme avec les pays neutres vivant en bonne intelligence avec ces mêmes pays ennemis, à condition de disposer d’une autorisation spéciale ?
  • Quelle logique suivaient les investissements américains en Allemagne lorsqu’ils grimpèrent de 450 millions de dollars au moment où la guerre éclata, en 1939, à 475 millions de dollars au moment de la déclaration de guerre allemande aux États-Unis, en décembre 1941 ? Cette même année, 553 filiales américaines travaillaient pour l’Allemagne nazie.
  • Pourquoi en automne 1941, la bourse de New York enregistra-t-elle une hausse progressive tandis qu’il devenait de plus en plus évident que la « guerre éclair » nazie à l’est, n’allait pas aboutir à la victoire ?
  • Pourquoi le rôle de la Banque des Règlements Internationaux (BRI), dirigée par un Américain, qui blanchit l’or des banques d’Etats occupés, les revenus des pillages, l’or dentaire, ou les bijoux en provenance des camps de concentration, est-il toujours occulté à ce jour ?
  • Pourquoi l’histoire officielle oublie-t-elle de rappeler le rôle joué par certaines des plus grandes banques américaines, telles la Chase Manhattan ou la J.P. Morgan, ainsi que celui des banques suisses, dans le rapatriement des profits faits par ces entreprises d’armement au cours de la guerre ?
  • Pourquoi la BRI, comme toutes les grandes banques privées suisses, américaines, anglaises, françaises, hollandaises etc… qui participèrent à ce pillage systématique de l’Europe au bénéfice des grands trusts internationaux ne furent-ils pas inquiétés ?
  • Comment est-il concevable, alors que Berlin était bombardée dès juillet 1940, par les bombardiers lourds britanniques, qu’aucune usine d’armement allemande à capitaux américains, pourtant situées dans leur rayon d’action, n’ait été touchée et que celles-ci aient pu continuer à produire l’armement nécessaire au Reich, pendant toute la durée de la guerre, contribuant du même coup à prolonger la guerre contre l’URSS ?…
  • Qui expliquera pourquoi, alors qu’Hitler avait fait parvenir à Churchill, en mai 1941, une proposition de paix prévoyant : Un désarmement général, en même temps que le retrait immédiat et sans condition de toutes les forces allemandes des pays occupés, puis le retour des gouvernements démocratiques et d’élections libres – celle-ci fut caché à tous les Alliés par le Premier ministre britannique ?
  • Dans le même ordre d’idées, pourquoi Rudolf Hess, fut-il arrêté dès son arrivée ? Puis mis au secret et maintenu prisonnier jusqu’à son assassinat à la prison de Spandau en 1987, quelques semaines avant sa libération ?
  • Comment se fait-il qu’après-guerre, les rares Cartels ayant subi des dégâts dans les derniers mois du conflit, comme General Motors, ou d’autres grandes entreprises américaines, restèrent non seulement impunies, mais reçurent des compensations pour les rares dommages subis par leurs filiales allemandes, suite aux raids britanniques ou Américains ?

    Compensations versées par les gouvernements, donc les contribuables, allemands, français, ou américains…

  • Comment est-il possible qu’IG Farben qui produisit les munitions, l’essence et le caoutchouc nécessaire à l’armée allemande pendant toute la guerre, IBM, Ford et General Motors (Opel) qui construisirent les chars et les camions, ou encore ITT qui fournit tout l’équipement électrique, aient pu reprendre leurs activités à la fin de la guerre, dans leurs usines intactes, pour participer à la reconstruction de l’Europe et à la mise en route de la guerre froide ?
  • Comment expliquer que les Américains, qui avaient pourtant la possibilité de débarquer en Europe dès 1943, aient attendu 1944 et la victoire inéluctable de la Russie, pour s’engager à l’ouest ?
  • Pourquoi ont-ils préféré débarquer en Afrique du nord et au Moyen Orient dès 1942, sinon pour s’assurer du pétrole iranien, irakien et des voies d’accès en Syrie et Afrique du nord, tout en bloquant une éventuelle avancée soviétique vers cette zone riche en pétrole ?
  • Pourquoi l’enjeu chinois et oriental, essentiel pour les pétroliers américains, comme pour l’Empire britannique, est-il si souvent « oublié » des historiens ?
  • Pourquoi l’animosité existant entre les USA et l’Empire britannique dans les années vingt et trente, notamment au regard des mêmes enjeux pétroliers, est-elle totalement occultée, alors qu’elle était à deux doigts de dégénérer en conflit armé ?
  • Pourquoi les plus grandes raffineries françaises furent elles toutes bombardées et détruites par les Anglo-saxons, alors qu’elles n’avaient plus de pétrole à raffiner depuis longtemps ?
  • Pourquoi les « experts » de tous bords ont-ils si aisément « oublié » la réception donnée au Waldorf Astoria de New-York le 26 juin 1940, jour de la défaite de la France ?

    Réjouissances auxquelles assistaient outre la délégation commerciale allemande, dirigée par Gehrard Westrick : Mr.Edsel, le fils de Henry Ford, représentant les usines Ford. Les représentants de General Motors, IBM, General Electric, Eastman Kodak, ITT, Standard Oil, accompagnés de leur avocat en Allemagne. James D. Mooney, responsable des investissements étrangers de General Motors et son PDG, Alfred P. Sloan, qui y eut ce « bon mot » dont nous admettrons qu’il traduisait la pensée de tous les convives : « Les pays démocratiques du monde ont des dirigeants inintelligents. Non… Stupide, et bornés… Il n’est donc que naturel que les démocraties doivent plier bagages quand un système alternatif se présente avec des chefs qui sont forts, intelligents, agressifs, qui font travailler les gens plus longtemps et plus activement et qui ont l’instinct du gangster. Et, en effet, il paraît que désormais les démocraties ne sont plus dans la course. » Cinq jours plus tard, la victoire nazie fut à nouveau célébrée en grande pompe, toujours au Waldorf, cette fois par Rieber, grand patron de Texaco et grand ami des fascistes, allemands, européens et américains. À nouveau, on vit s’y presser l’élite de la haute finance internationale, célébrant cette aubaine économique, cette nouvelle avancée de leurs intérêts européens…

  • Pourquoi, depuis 70 ans les services secrets, principalement anglais ont-ils détruit des milliers de documents compromettants ? Assassiné (pardon, il fallait sans doute dire « suicidé ») des témoins essentiels et maintenu une chape de plomb sur la vérité ?
  • Comment se fait-il que l’attaque de Pearl Harbour ait pu être une « surprise » pour la marine américaine, alors que les services du chiffre britanniques connaissait parfaitement et sans le moindre doute possible, le lieu de l’attaque, et ceci deux jours à l’avance ?
  • Pourquoi le « système Octogone » qui permit à la CIA et aux anciens nazis d’exfiltrer le trésor de guerre nazi, fut-il si consciencieusement camouflé jusqu’à nos jours ?
  • Quel fut le rôle du Chancelier Adenauer dans le réarmement de l’Allemagne et le système «Octogone», qui utilisait l’or des SS pour financer son parti politique, la CDU, inféodée aux USA ?
  • Qui voulut et déclencha la Guerre froide ? Et pourquoi ?
  • Enfin, pourquoi ceux qui écrivent l’Histoire à l’intention des Peuples ont-ils « oublié » avec une telle désinvolture l’avertissement lancé le 17 janvier 1961, par le président Eisenhower, au moment où il allait quitter le pouvoir, contre le pouvoir du lobby militaro-industriel : « Nous devons nous méfier d’une influence non justifiée, qu’elle soit voulue ou non, par le complexe militaro-industriel. Le risque d’un accroissement funeste des abus de pouvoir existe et persistera. Ne laissons jamais le poids de ce complexe mettre en danger nos libertés ou notre démocratie. »
  • Et cette question corollaire : Pourquoi J.F. Kennedy fut-il assassiné alors qu’il s’apprêtait, sur les conseils du président de Gaulle, à mettre fin à la guerre au Vietnam ?

Chacun l’aura compris, je pourrais continuer cette énumération sur de nombreuses pages, mais j’avais promis de m’en tenir à la seconde guerre mondiale…

« On ne ment jamais autant qu’avant les élections, pendant la guerre et après la chasse », avait coutume de dire Georges Clemenceau, et une constatation s’impose en 2021 : Le trait reste juste, puisque les ouvrages édités à ce jour ne répondent à aucune de ces questions de manière synthétique.

Alors que les faits sont parfaitement connus, que les archives ont été ouvertes, les livres écrits, les tenants de « l’Histoire Officielle », évitent de les critiquer, détournant pudiquement les yeux devant les travaux de leurs confrères et la réalité indiscutable des archives, faute de pouvoir les mentionner sans compromettre les intérêts de ceux qui restent les « Maîtres de la Planète », et dont les noms brillent sans discontinuer depuis plus d’un siècle, aux sommets des plus hauts buildings.

À ces questions primordiales, qui en génèrent à leur tour tant d’autres, les « experts » répondent :

« Génie du mal, règne de la terreur, faute du peuple allemand, envoyé du Diable, idéologie raciste, folie incompréhensible, illogisme fatal » et autres explications fumeuses.

En réalité, tout ceci est un conte à dormir debout, grâce auquel les auteurs accrédités accumulent honneurs et reconnaissance officielle, car il n’y a jamais eu de guerre sans, à son origine, une intention bassement intéressée, un financement bien ordonné, et une volonté parfaitement déterminée.

Aucune « fatalité » n’est jamais entrée en ligne de compte, et la Seconde Guerre mondiale et ses soixante-cinq millions de victimes, n’a pas manqué à la règle, malgré tous les écrans de fumée qu’on s’est acharné à déployer depuis 70 ans.

Voilà pourquoi toute l’histoire du XXe siècle peut se résumer à deux idées fortes :

  • La première est économique avec l’émergence de nouvelles puissances économiques et l’ouverture de nouveaux marchés. (Allemagne, Russie, Chine )
  • Pour les gérer au mieux, les grands trusts mondiaux se sont organisés en cartels et se sont partagé la planète afin d’éviter de se faire concurrence. À chaque cartel sa Zone d’influence.
  • C’est afin de s’opposer à la prise de participation toujours plus grande des cartels anglo-saxons dans les entreprises allemandes, que leurs homologues européens se sont regroupés pour tenter de mettre fin au « noyautage » de leurs industries.
  • Hitler se mit à leur tête, défiant ainsi ses anciens commanditaires anglo-saxons, et ce fut la guerre.

  • La seconde donnée majeure est d’ordre social.
  • Une nouvelle conception des rapports sociaux en oppositions avec les anciennes valeurs et les pouvoirs conservateurs était apparue avec le siècle.
  • Leur fer de lance : Les idées communistes et socialistes. Manœuvre habile orchestrée par le Grand capital international « noir » afin d’ordonner à leur avantage les idées de liberté, de justice sociale et de démocratie.  Car tout en économie, donc en politique, est affaire de légitimité, donc de manipulation des opinions et des Peuples.
  • La troisième donnée est idéologique, puisqu’il fallait trouver les prétextes aptes à mobiliser des Peuples déjà fortement lassés par la Première guerre mondiale et n’ayant aucun désir de recommencer les mêmes erreurs.
    Voilà pourquoi le Grand capital noir apatride, fraudeur fiscal et fauteur de guerres et révolutions en tous genres a financé communisme et fascisme, deux forces apparemment antinomiques, mais seules en mesure d’aveugler les Peuples rendus vulnérables par les désordres économiques ayant succédé à la Grande Guerre.

Ce sont ces bouleversements qui vont décider de tout.

Voilà ce dont il faut bien se souvenir si l’on veut comprendre pourquoi des milliards furent investis dans du matériel de guerre et pourquoi des centaines de millions d’êtres humains furent sacrifiés, au cours du siècle le plus sanglant de l’Histoire.


Extrait du Testament de Sidney Warburg.

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Les preuves du vol des archives du général Gamelin, par le Gouvernement français

Les preuves du vol des archives du général Gamelin, par le Gouvernement français

Les archives personnelles du général Gamelin, dont le Journal de Marche du Cabinet Gamelin composé de plusieurs volumes représentant environ 3 000 pages, dans lequel il avait noté au jour le jour ses activité jusqu’à son limogeage, connurent le même destin que des milliers d’archives compromettantes puisque que ses carnets de notes et agendas personnels contenues dans deux grandes malles, furent volés en absence de son épouse, par un officier envoyé par le ministère de la Défense, moins d’une heure après le décès du général Gamelin à l’hôpital du Val de Grâce – et avant même que Mme Gamelin en soit avertie – ceci juste avant que les officiers des archives de Vincennes puisse venir apposer les scellées sur les portes du logement.

Parmi les nombreux témoins de ce vol, le général de Cossé Brissac, responsable en ce temps des archives de l’Armée, a rédigé à l’intention de l’historien britannique Martin Alexander, une lettre résumant assez bien les faits.

D’autres témoins, dont le fils du général Petibon, aide de camp du généralissime, et le colonel Le Goyet, autre gardien des archives et auteur d’une biographie très connue du généralissime intitulée Le Mystère Gamelin, ont attesté de l’existence de ces documents.

Voyons pour commencer comment le général de Cossé Brissac a présenté les faits :

DOCUMENT ANNEXE N°1

Lettre du 6 avril 1983 du général de Cossé Brissac à Mr. Martin Alexander du département d’histoire de l’Université de Southampton, suite au vol du Journal de marche du Cabinet Gamelin.

Monsieur le Docteur,

J’ai bien reçu votre lettre substantielle du 23 mars 1983. Je sais vos hautes qualifications historiques et je suis très honoré que M. Jean Vanwelkenhuyzen vous ait signalé mon nom.

Je vous ai lu avec beaucoup d’attention et d’intérêt. Cette lecture m’incline à admettre la probabilité de l’existence, puis de la disparition, d’un « Journal de marche » du Cabinet Gamelin.

J’ai effectivement assuré la direction du Service historique de l’armée de Terre au château de Vincennes, de 1953 à 1966 – à la mort du regretté Xavier de Virieu.

À mon grand regret je ne puis vous donner de témoignage différent de ceux du lieutenant-colonel Le Goyet et du lieutenant Cadilhon, alors responsables de notre section contemporaine, qui ont pris en charge les documents du général, après levée des scellés.

Je me souviens avoir appris, tout à fait par hasard, de source non officielle, la saisie des archives du général Gamelin, à son domicile, par une équipe que je suppose ministérielle, aussitôt après la mort du général à l’hôpital du val de Grâce. Mort qu’ignorait encore la Générale.

Choqué par la brutalité et l’incorrection d’un tel procédé, j’ai eu alors à cœur de faire savoir à la famille Gamelin que notre Service historique était étranger à cette mesure. 
J’ai assisté moi-même aux obsèques du général au Val de Grâce. Quand les papiers saisis ont été remis au lieutenant- colonel Le Goyet, représentant du Service historique, j’ai renouvelé à la famille mon souci de donner satisfaction à ses demandes éventuelles, dans le cadre de nos règlements.

Le lieutenant-colonel Le Goyet m’a rendu compte, à l’époque, de la levée des scellés à laquelle il avait assisté et de l’inventaire des documents reçus, ensuite établis par ses soins.

Je suis certain qu’il n’y avait pas trace du Journal de marche, dont vous supposez non sans raison, l’existence, puis la disparition.

J’avoue que votre exposé me fait regretter aujourd’hui de ne pas avoir manifesté plus de curiosité.

Il est vrai que mes travaux antérieurs sur la Seconde Guerre mondiale m’avaient essentiellement orienté sur les archives allemandes, et fort peu sur celles de l’ancien généralissime.

Il ne faut surtout pas oublier les circonstances qui ont suivi de près la mort du général Gamelin : L’écroulement d’un régime, l’apparition d’un nouveau pouvoir avec tous les changements d’équipes, consécutifs à cette complète rénovation gouvernementale.

Vous ne serez pas surpris, je l’espère, que je confie l’acheminement de cette lettre à mon ami, et lointain successeur, le général Delmas, qui ne doit pas en ignorer la teneur.

Charles de Cossé Brissac

DOCUMENT N° 2

Extrait du Tome N°6 de la série Le Grand Mensonge du XXe siècle : La fin des Mystères ?

Les « papiers » Gamelin

« Le 21 janvier 1958, le général Gamelin à la suite d’une mauvaise chute est hospitalisé au Val de Grâce. Il a près de quatre-vingt-six ans et son état est sérieux. Dans sa petite chambre il va vivre trois mois d’une longue agonie. (-) Il meurt le 18 avril et Mme Gamelin a la douloureuse surprise, en rentrant du Val de Grâce, de constater que les scellés sont apposés sur le cabinet de travail du général à son domicile, 55 avenue Foch à Paris. Le ministre de la Défense nationale, par l’intermédiaire du commissaire de police du 16e arrondissement a fait appliquer strictement les textes réglementaires (d’apposition des scellés). Le colonel Consigny représentait le ministre. »

Nous connaissons aujourd’hui les circonstances exactes de cette application « réglementaire » des scellés, puisque le colonel Consigny, qui s’était fait ouvrir le logement par la concierge en l’absence de Mme Gamelin, est le seul à avoir pu voler le Journal de marche et les carnets personnels du général juste avant qu’ils soient posés.

Ce n’est donc que le 4 juin, soit près de deux mois après l’apposition de ces scellés, que le colonel Le Goyet prend possession de ce qui reste des archives du général : « Le 30 avril 1958, une décision ministérielle prescrit au Service historique de l’Armée d’assister un magistrat militaire dans la levée des scellés et la récupération des documents appartenant aux départements de la Défense nationale et des Affaires étrangères. Je suis désigné pour accomplir cette mission, le lieutenant Cadilhon et l’adjudant –chef Brun m’accompagnent. L’opération s’effectue le 4 juin 1958, en présence du Magistrat colonel Jallut, de l’intendant de 3e classe Falcout, du commissaire de police du 16e arrondissement en uniforme, de madame Gamelin, de deux membres de la famille et d’un avoué. Tout est désordre … Des papiers sortis des tiroirs sont éparpillés, d’autres sont entassés par terre, d’autres dans des cantines poussiéreuses… En silence nous entamons les premiers tris. Au bout d’une heure, j’interviens auprès du colonel Jallut et lui suggère de transporter le tout à Vincennes au Service historique de l’Armée avec l’accord de Mme Gamelin et du général de Cossé-Brissac. Après avoir reçu l’assurance que tous les papiers strictement personnels, ou n’ayant aucun intérêt historique, lui seront reversés, et après avoir pris conseil de son avoué, Mme Gamelin accepte. Tous les documents sont mis en cartons et chargés dans une camionnette. » Fin de citation (Le Goyet Le mystère Gamelin page 369, 370, 371).

Ainsi, partant du principe qu’un homme en charge de rassembler, étudier, puis classer les archives d’un général ayant commandé en chef ne peut ignorer l’importance de son Journal de marche et de ses carnets personnels qui en sont les pièces majeures, comment expliquer que ce haut responsable, dans sa biographie du général Gamelin, ne mentionne pas leur disparition ??? 

Qu’il se contente, sans plus de commentaires de signaler la présence du colonel Consigny le 18 avril ?
Qu’il ne mentionne pas plus les plaintes de Mme Gamelin auprès du général de Cossé Brissac et la lettre d’excuse de ce dernier reconnaissant formellement le vol perpétré avant l’apposition des scellés, puis préfère décrire le cabinet de travail du généralissime totalement mis sens dessus-dessous par cette fouille hâtive, comme s’il s’agissait de l’état normal des lieux ?
Quant à la raison pour laquelle il fut choisi pour veiller au classement et au bon enregistrement de ces archives, certaines mauvaises langues, après avoir constaté le zèle avec lequel il contribua à la rédaction de la bible officielle, ont pu y voir un excellent moyen de filtrer à nouveau ces documents, au cas où quelques pièces auraient pu échapper au colonel Consigny, envoyé par M. Chaban Delmas en ce temps ministre de la Guerre du gouvernement de M. Félix Gaillard.   

Le lecteur ne s’étonnera donc pas que les enregistrements et rapports rédigés dans la journée du 15 mai 1940 à la suite de la trahison du tandem Georges – Billotte, aient également « disparu » de l’histoire de cette bataille, ou que les témoignages et rapports concernant les « chars fantômes de Sedan » aient été modifiés ou se soient « envolés ».

En définitive, et quoiqu’il en soit de ce nouveau tour de passe-passe historique, une chose est certaine : Ce témoignage nous donne l’assurance que tous les documents sur cette bataille, volés ou pas, et en particulier ceux concernant le rôle que le généralissime y a tenu, sont actuellement en possession de l’État français, puisque le général Gamelin a bien pris soin de préciser qu’il a pu disposer, pour rédiger ses Souvenirs, de toutes ses archives :  « Il me faut notamment revoir de près toute une série de notes soigneusement enregistrées au jour le jour, par moi-même, ou par mon état-major. (-) J’eus soin d’accompagner mes notes et mémoires de toutes les pièces à l’appui que je pus faire retrouver dans les archives de mon ancien état-major particulier. Je tenais à ce que ces documents fussent déposés au dossier du procès. Et bien m’en prit d’ailleurs, car une partie d’entre eux fut détruite par les autorités militaires qui en avaient la garde, (c’est moi qui souligne) quand les Allemands pénétrèrent en zone libre le 11 novembre 1942 »

Décidemment, il semble que ce soit une manie de détruire les archives chez nos militaires, et l’on comprend maintenant à quel moment ces « autorités » ont pu détruire tous les documents ayant un rapport quelconque avec les informations fournies par Roessler et les autres.

Marotte de la destruction que Gamelin devait connaître puisque : « j’avais heureusement le double des originaux essentiels. (-) Mes archives ont pu être précieusement conservées, à peu près complètes, mais j’ai dû les mettre à l’abri tant que la France était occupée par les Allemands. Il y a d’ailleurs des faits, ou des opinions, qu’il vaut mieux n’exposer qu’avec un certain recul et quand les passions soulevées par les crises que nous traversons auront perdu de leur acuité. »
Fin de citation  (Gamelin Servir  Tome 1  Introduction page II)

Et le constat est clair… Apparemment les « passions » ne sont pas refroidies.

Sachant que le double de ces pièces a été détruit par les Français lorsque les Allemands pénétrèrent en zone libre le 11 novembre 1942, et qu’il convient d’ajouter à toutes ces disparitions « malencontreuses » les milliers d’archives saisies par les « alliés anglo-saxons » qui, selon mes conclusions personnelles, servent encore à exercer le chantage indispensable au maintien du « secret de famille », on ne s’étonnera pas de la facilité avec laquelle la thèse de l’illogisme put s’imposer.