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Inscrivez-vous à notre News Letter afin d’être informé des dernières avancées et des prochaines rencontres, séances de signatures, cafés d’histoire etc…
Les historiens en colère ne sont pas une association structurée, mais un outil de communication, une plateforme par laquelle nous pouvons nous exprimer, selon les principes si bien posés par Barthélémy Saint-Hilaire :
« Il faut, dans la démocratie, une liberté absolue d’exprimer ce que l’on pense. Le citoyen doit à la patrie le fruit de ses méditations. Socrate passe sa vie, et la risque enfin, à conseiller ses concitoyens, qui le frappent sans le décourager. Il n’y a de limites aux conseils et aux critiques que la paix même de la Cité et l’existence de l’Etat ; Voilà pourquoi la liberté de la presse tient une telle place dans tous les états modernes qui, en devenant libres, se rapprochent de plus en plus du gouvernement modèle de la démocratie. »
De la vraie démocratie – Barthélémy Saint-Hilaire
Et nous avons bien conscience de notre isolement. Mais notre travail consiste à rechercher, à faire œuvre de fourmi, de « rat de bibliothèque », et nous consacrons tout notre temps à cela.
C’est pourquoi nous n’avons pas le temps d’organiser les rencontres pourtant indispensables que nous aimerions avoir avec vous.
Fort heureusement, grâce aux innombrables personnes qui nous soutiennent déjà depuis vingt ans, quelques projets associatifs sont en cours.
Ils permettront à chaque personne intéressée de nous rejoindre et de participer aux actions qu’elles proposeront.
En attendant de pouvoir vous inscrire à leur News Letter, et afin de vous tenir informé de ces évènements, retrouvez-nous sur le site des Éditions du Mouton noir qui vous donnera les dates des prochaines séances de signatures, et autres « cafés d’Histoire » où vous pourrez nous rencontrer.
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L’intention des historiens révisionnistes ayant travaillé sur les archives de la Bataille de France n’ayant jamais été de participer d’une manière ou d’une autres aux théories complotistes, nous avons envoyé à tous les hommes politiques français les résultats de nos recherches dès 2016, avec un premier courrier au président Hollande en date du 26 janvier.
Courrier accompagnant les premières conclusions tirées des archives sous forme d’un premier tirage de plusieurs centaines de pages.
L’année suivante, en vue des élections présidentielles, nous avons contacté à la fois les médias les plus connus et tous les candidats pour leur offrir les mêmes informations.
Enfin, après l’élection du président Macron, nous avons poursuivi cette politique d’information jusqu’à notre dernier courrier à son intention en date du 10 mai 2021.
Le but étant de ne provoquer à la date de parution des premiers ouvrages, aucun esclandre susceptible de nuire au bon jeu politique de notre démocratie.
De manière générale, nous avons reçu accusé de bonne réception de la part de toutes les personnes contactées, sans pour autant qu’elles aillent plus loin dans leurs réponses, ce que l’on peut aisément comprendre tant que les dits ouvrages n’étaient pas édités.
À ces premières prises de contact, s’ajoutèrent d’autres relations avec des hommes politiques étrangers, des chaines de télévisions, ou des associations de Gardiens de la Mémoire.
Voici quelques témoignages de soutien aux historiens révisionnistes et intellectuels qui dénoncent la trahison militaire et le complot mondial qui l’accompagnait :
« L’on se demande aujourd’hui, je veux dire moi, comme sans doute nombre de mes confrères historiens, comment les soupçons de trahison militaire que nous avions pourtant tous présents à l’esprit après-guerre, ne purent jusqu’ici trouver le juste chemin pour s’exprimer. L’absence d’archives, en ce temps, explique sans doute ce manque apparent de clairvoyance… (-)
En rétablissant son juste rôle historique, (celui de Rudolf Roessler) l’ouvrage de Christian Greiner offre l’inestimable avantage de rétablir une vérité que certains semblent désireux de voir tomber dans l’oubli, donc de pouvoir reconsidérer l’histoire de la Bataille de France sous un jour totalement nouveau. »
Pierre Accoce, historien et journaliste d’investigation, reporter de guerre pour le journal Ce Soir dirigé par Louis Aragon, à Constellation, enfin à l’Express. Prix Littré, prix de la Résistance, prix Raymond Poincaré.
« J’ai lu avec un vif intérêt vos observations. Elles sont utiles à ma réflexion, et je vous remercie de me les avoir faites parvenir. »
M. François Fillon – Premier ministre.
« Ayant parcouru les travaux d’Anthony Sutton et ceux d’Annie Lacroix-Riz (Le choix de la défaite notamment), je ne suis, hélas !, pas immensément surpris des conclusions auxquelles vous parvenez. Mais toute information complémentaire précise et sourcée permettant d’étayer ces découvertes sont évidemment du plus haut intérêt. »
M. François Asselineau – Candidat aux élections présidentielles
« Voltaire a dit : « Un historien est un babillard qui fait des tracasseries aux morts. » Et encore : « La fable est la sœur aînée de l’histoire. » Tes livres confirment ces citations.
Toi tu es un vrai historien qui ouvre les yeux à tout le monde qui ne veut pas être aveugle. Moi, je suis d’accord avec toutes tes conclusions. La première victime de la guerre, c’est la vérité. C’est juste. Et tu confirmes cela par tes LIVRES.
Je crois que Le Testament de Sidney Warburg sera une vraie surprise pour tous ceux qui pensent. »
Mr. Vladimir Bektov haut fonctionnaire du gouvernement russe, ex vice-gouverneur de la région de Kirov.
« Cher ami et sauveur ….
J’ai une pensée pour ma grand-mère qui adorait son frère et s’en est beaucoup occupé, et à qui je dois beaucoup, elle doit frémir là où elle est…
Je vous remercie de votre dernier envoi que j’ai parcouru. Il devrait passionner les lecteurs de polar comme les historiens, ce qu’il faut souhaiter. J’ai grâce à vous découvert qu’il existait des historiens « révisionnistes » et je vous demanderai un jour de m’en dire plus la dessus. »
Colonel Uhrich, petit fils du général Uhrich défenseur de Strasbourg en 1870, et petit neveu du général Gamelin général en chef des armées alliées en mai 1940.
« Je vous tire un grand coup de chapeau !! Vous avez voulu vérifier toute assertion, d’où qu’elle vienne. C’est la seule bonne méthode ! Mais quel travail de bénédictin ! Surtout quand tout est fait pour dissimuler, brouiller les cartes … Je reste sans voix devant l’énormité du travail de vérification que vous avez fait en vous référant aux archives françaises, belges, allemandes, anglaises… Quel travail de lecture, d’analyse, de comparaison…
Comme je vous l’ai déjà dit, je suis en accord total avec votre analyse. La trahison était un leitmotiv quand on lisait ou discutait avec les officiers ou la troupe.
La France est informée depuis 1945, mais les directeurs de conscience que représentent les grands média, diluent l’information qui les dérange, et la rendent invisible. Ce n’est pas un hasard si neuf milliardaires les détiennent !
En réalité, l’esprit de Vichy est loin d’avoir disparu ! Dès la fin de la guerre, des publications ont dénoncé la trahison ! La Revue Historique des Armées a même fait paraître des articles écrits par des membres de l’état-major de Huntziger dénonçant les mensonges de ce dernier. Tous ceux qui ont écrit sur cette période y ont eu accès, l’ont lu, l’ont bien compris car c’est clair et net !! Mais ils ont suivi l’esprit cagoulard…
Curieux et inquiétant !! Les fables d’Huntziger-Georges-Pétain et Cie restent toujours la version officielle de mai-juin 40 !
Vous allez faire office de trublion (comme moi…). Soyez prudent et assurez bien votre sécurité car je crains que tous les miliciens ne soient pas disparus : ils ont seulement changé de costume ! »
Michel Baudier, président de l’Association d’historiens et gardiens de la Mémoire : « ARDENNES 1940 à ceux qui ont résisté »
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NOTA: Les textes ci-dessous sont tirés du livre: Le testament de Sidney Warburg.
Les grands assassinats politiques qui ont marqué le siècle ont tous été commandités par ces pouvoirs occultes et leurs motivations réelles soigneusement camouflées au grand public.
Même si leur nom n’y fut jamais mêlé, les hommes qui les décidèrent avaient, quelque soit leur camp, tous les instruments occultes du pouvoir à leur disposition pour cela.
Voici quelques exemples notables, parmi des centaines :
Et toutes les guerres ont procédé de la même logique. L’étude de M. Milton Leitenberg, travaillant sous l’égide de l’institut néerlandais de relations internationales, nous propose le chiffre à la fois pharamineux, et insaisissable pour l’esprit humain, de 231 millions de victimes de conflits, au cours du seul XXe siècle.
Partant de ces chiffres universellement acceptés et reconnus, je propose, afin d’échapper à leur abstraction, d’établir une courte nomenclature des plus marquants :
Pour finir ce court exposé en beauté, M. Milton Leitenberg nous rappelle que la seule période1914-1947fut « la période la plus meurtrière de toute l’Histoire de l’humanité avec 100 à 200 millions de morts violentes sur une planète alors peuplée d’environ 2 milliards d’êtres vivants.»
Voilà pour le seul XXe siècle.
En réalité, ces guerres, comme toutes celles ayant existé depuis le début de l’humanité n’ont jamais eu d’autres causes que l’appât du gain. Qu’on ait tenté de s’emparer du plat de lentille originel, ou des terres, des femmes, des esclaves, des richesses de ses voisins, personne, jamais, n’a fait la guerre pour un autre motif. Le seul moteur assez puissant pour entraîner de telles prises de risques, et de tels massacres, est, et sera toujours, la rapacité de certains, et le manque total de scrupules des dictateurs, des politiciens, et de tous ceux qui leur sont inféodés.
Ainsi, le mensonge préside en politique. Aucun, ou presque, de ses acteurs n’hésite un instant à mentir aux électeurs aussitôt qu’il l’estime nécessaire, légitimant ce mensonge par l’adage «Qui veut la fin veut les moyens» et, comme au bout du compte c’est le candidat qui porte la solution et va «sauver le pays», ou «redresser la situation», après tout qu’importe la morale la plus élémentaire.
D’ailleurs les Peuples sont aujourd’hui si accoutumés aux mensonges que le journal Le Point, au moment des élections présidentielles françaises de 2012, en fut réduit à titrer : «Qui ment le moins?»…
Dans le même ordre d’idées, il est de notoriété publique que la dissimulation ne sert pas que leurs intérêts personnels, ou même ceux de puissants groupes de pression, mais qu’elle est une composante essentielle du fonctionnement des États, et ceci quel que soit le parti, ou l’homme, au pouvoir, quelle que soit même la forme de gouvernement adoptée par le pays. Du totalitarisme le plus débridé à la démocratie la plus ouverte, en passant par les républiques bananières, ou les gouvernements «révolutionnaires» tous, sans la plus petite exception, ont adopté le principe du «secret d’Etat», comme fondement nécessaire à la bonne marche du monde. En réalité, tous les hommes parvenus à la tête de ces Etats mentent dans le seul but que rien ne change à la logique qui les a menés au pouvoir.
Là encore, la Vérité n’est pas un dû. Les Peuples sont, abusés, trahis.
Et pour reprendre notre refrain : Nul n’en ignore.
Fin de citation (Le testament de Sidney Warburg)
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Nous avons la chance d’avoir depuis quelques mois le soutien de nombreux « jeunes » familiers des réseaux sociaux, qui se sont amusés à réaliser des affiches, des clips historiques et mêmes quelques clips satiriques qu’ils devraient diffuser sur le Net au printemps 2021, au moment précis où nous ouvrirons ce site et mettrons les premiers ouvrages en vente.
Et nous les en remercions de tout cœur.
Leur but, outre ce soutien, était de vous offrir de participer à cette joyeuse forme d’expression en créant à votre tour quelques clips humoristiques. Car sans cette forme précieuse de savoir vivre, comment communiquer sur un sujet si dramatique et actuel ?
Le moins était donc de relayer leur appel et de vous offrir la possibilité de vous exprimer sur un sujet bien plus inspirant qu’il n’y parait, car avouons que de s’être fait berner à ce point et si longtemps ne laisse plus d’autre alternative que de rire de soi-même.
Rejoignez-nous donc sur nos réseaux sociaux, vous y trouverez tous les liens utiles pour vous joindre à la fête.
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« Le blitzkrieg reposait sur l’existence « d’ennemis obligeants » qui ne feraient pas simplement des erreurs mais les bonnes erreurs. »
Fin de citation (D.E. Showalter 1940 Défaite française, victoire allemande sous l’œil d’historiens étrangers page 38)
Soit, en opposition à la thèse du Blitzkrieg « incompréhensible » de M. Frieser, le fondement d’une trahison en bonne et due forme …
Ainsi, la révélation de la trahison militaire française de mai-juin 1940 permet d’allonger la liste des questions laissées irrésolues, par les « experts » accrédités :
Interdiction qui laissait des centaines de cadavres pourrir sur place sans pouvoir être inhumés !
Serait-ce parce que quelques curieux auraient pu y découvrir des hommes et des chars qui n’avaient rien à faire là ?
Enfin ultime interrogation : Si les historiens choisissaient demain de répondre à ces questions, la compréhension du monde dans lequel nous vivons n’en serait-elle pas totalement bouleversée ?
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Les chercheurs, historiens et autres lanceurs d’alertes bâillonnés.
De nos jours, on ne brûle plus les livres interdits, pourtant curieusement dans notre société hyper informée, rien n’est plus aisé que faire disparaître une information, tout simplement en l’occultant dans les médias.
Pour s’en convaincre, il suffit de lire les témoignages des universitaires les plus reconnus tel Antony C. Sutton, économiste et historien britannique, chercheur à Stanford et professeur à l’UCLA qui fut un des premiers, dans les années soixante, à révéler la part prise par les banquiers et industriels américains dans l’accession au pouvoir d’Hitler et l’effort de guerre du IIIe Reich, ou Alice Teichova, professeur à l’université East Anglia au Girton College de Cambridge et à l’Ecole des Sciences économiques et politiques de Londres, qui a retrouvé les ramifications britanniques et européennes du système financier nazi en Europe, ou encore Adam Tooze, enseignant à Yale, qui révéla la vérité sur l’économie allemande de l’entre-deux guerre, Edwin Black qui mit à jour la part prépondérante prise par IBM dans la conduite de la guerre et l’Holocauste, ou Joseph Borkin qui osa s’attaquer aux crimes de l’IG Farben, c’est-à-dire la société Standard Oil de J.D. Rockefeller Junior. Tous eurent, comme nombre de leurs collègues universitaire « révisionnistes », à subir des pressions constantes et variées ainsi qu’en témoigne Sutton :
« Malgré leur Constitution et ses contraintes supposées, les États-Unis sont devenus un Etat quasi totalitaire. Si les signes extérieurs de la dictature ne sont pas encore visibles et que les camps de concentration, et autre agents du pouvoir venant frapper à notre porte à minuit, ne sont pas notre quotidien, les détracteurs de l’establishment font cependant l’objet de menaces. Des actions sont menées contre eux, telles que l’utilisation des services fiscaux pour faire rentrer dans le rang les dissidents, ou encore la manipulation de la Constitution par un système judiciaire subordonné à cette élite. (-) À travers des maisons d’édition contrôlée par cette même élite financière, les livres gênants passent à la trappe et les livres « utiles » sont mis en avant. (-) Le résultat global de cette manipulation de la société par l’Establishment a été le déclenchement de quatre guerres de grande ampleur en 60 ans, une dette nationale écrasante, l’abandon de la constitution, la suppression de liberté et d’opportunités, et la création d’un immense gouffre de crédibilité entre l’homme de la rue et ses dirigeants politiques.
Le dispositif transparent de deux partis principaux claironnant des différences artificielles, des conventions dignes des jeux du cirque, et le cliché de la politique étrangère plus partisane, n’est quant à lui plus du tout crédible. Et l’élite financière, qui reconnaît elle-même que sa politique n’emporte pas l’adhésion du public, est de toute évidence prête à suivre son chemin en solo, sans le soutien symbolique de ce public. Les preuves apportées par les historiens révisionnistes constituent l’arrête de ce débat, les fondements de nos accusations de subversion. Lentement, au fil des décennies, livre après livre, pratiquement ligne après-ligne, la vérité sur l’histoire récente émerge au fur et à mesure que les documents sont publiés, examinés, analysés et organisés dans un cadre historique plus valide. » ( Antony Sutton – Wall Street et l’ascension d’Hitler).
Ce texte date de 1976. Pourtant, quarante ans plus tard la situation n’a pas évolué d’un pouce, empirant au contraire. Ainsi, en 2013, au Canada cette fois, l’historien Jacques Pauwels, de l’université de Toronto, se plaignait des mêmes entraves sourdement opposées à la liberté d’information par ces quelques lignes en conclusion de son livre : « L’histoire, c’est de la foutaise » a dit un jour Henry Ford. Le Big Business dispose de l’argent nécessaire pour faire écrire les livres et les diffuser à grande échelle. Ce travail est mis au point par des auteurs triés sur le volet, dont les entreprises peuvent attendre sympathie et compréhension, et ces auteurs savent ce qu’on attend d’eux en échange de plantureux honoraires. Dans ces livres, par conséquent, il n’est généralement pas du tout question de thèmes potentiellement désagréables. Nous pouvons qualifier ces ouvrages « d’antiseptiques ». Dans les histoires plus ou moins officielles des grandes entreprises américaines, par exemple, il n’est presque jamais question du rôle de leurs filiales en Allemagne pendant la guerre. (-) Des études antiseptiques ont été produites pour le compte de Ford, General Motors, Volkswagen, Krupp, Allianz, Daimler-Benz, Deutsche Bank, Degussa, Dresdner Bank, Flick et Bertelsmann. Ce n’est pas un hasard si de tels auteurs n’éprouvent aucune difficulté à dénicher rapidement une grande maison d’édition désireuse de publier leur travail.
L’écrasante majorité des grandes maisons d’édition américaines et allemandes sont, soit des entreprises gigantesques et donc des membres bona fide du Big Business, soit la propriété de holdings dont les grandes entreprises possèdent de gros portefeuilles d’actions. Les manuscrits d’études critiques sont, quant à eux, presque toujours refusés par ces éditeurs. Des livres dans lesquelles les sujets délicats sont évités, ou habilement justifiés, peuvent par contre se trouver des semaines durant dans les vitrines des grandes librairies qui, très souvent, sont des filiales, ou des associées des grandes maisons d’édition. Des études critiques sont généralement difficiles, voire impossibles à dénicher dans ces librairies. Et ce phénomène commence à se répandre en Europe. Les grandes maisons d’édition liées au big business, qui publie des études non critiques à gros tirage, peuvent se payer ce service. » (Jacques Pauwels Big business avec Hitler).
Ce qui permet d’oublier les recommandations des plus éminents représentants de cette respectable profession :
« L’écriture de l’histoire, consiste en une révision sans fin du passé. La réalité effective de l’histoire demande à être envisagée en même temps que ses possibilités ». John Lukacs
« Toute vérité est bonne à dire pour l’historien, même et surtout celle qui dérange les préjugés, heurte des idées reçues ou des intérêts partisans. » Raymond Aron
Et celles de quelques hommes raisonnables :
« Partout où le hasard semble jouer à la surface, il est toujours sous l’empire de lois internes cachées, et il ne s’agit que de les découvrir. » Friederich Engels
Car le véritable complot des médias et des éditeurs aux ordres du Grand capital noir ne fut pas d’interdire aux historiens révisionnistes et aux intellectuels de travailler, mais de paraître se désintéresser de leurs travaux, de les reléguer dans les poubelles de l’information et, au mieux, de ne les évoquer que dans des émissions de télévisions « élitistes », ou dans des documentaires diffusés aux heures les plus avancées de la nuit.
Car tous savent depuis toujours que :
« Celui qui a le contrôle du passé, disait le slogan du Parti, a le contrôle du futur. Celui qui a le contrôle du présent a le contrôle du passé. » 1984 George Orwell
et que le « bas Peuple » doit être maintenu dans l’ignorance.
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Avant de vous lancer, laissez-nous vous expliquer comment vous y retrouver …
Vous trouverez sur notre chaine YouTube les interviews et documentaires qui vous permettront d’analyser aisément les sept pièces manquantes du puzzle.
Pour choisir les films traitant de la trahison militaire française
Pour choisir les films traitant de la guerre des Empires
Pour choisir les films traitant de l’Europe des cartels
Pour choisir les films traitant des Trahisons des Alliés au cours de la 2e Guerre
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« On croit mourir pour la patrie : on meurt pour des industriels. »
Anatole France, L’Humanité, 18 juillet 1922
Cette vérité élémentaire, si profondément ressentie par les Peuples et tant combattue par les médias sous prétexte de théorie complotiste, n’a, pour être démontrée, qu’à tenir compte des faits et archives, et surtout des étranges « blancs » laissés par les théoriciens de l’absurde.
En réalité, chacun de nous se doute bien qu’écarter volontairement de l’Histoire les enjeux économiques, est révélateur de la volonté de brouiller les pistes. Nous savons tous qu’il faut chercher « à qui profite le crime » !
Ce que par contre le grand public, ne sait pas, c’est l’extraordinaire violence avec laquelle ces mensonges d’État sont imposés.
Ainsi, en 2021, et si l’on ne considère que la période 1919-1945, les réponses aux questions suivantes, bien que connues des experts et historiens, n’ont toujours pas été fournies au grand public :
« Zones d’influences » correspondant à celles des cartels en charge de créer le « nouvel ordre mondial ».
Un Cartel d’envergure mondiale, aux multiples ramifications internationales, dont on ne trouve curieusement plus trace dans l’historiographie.
Je parle ici de Ford Allemagne, de IG Farben, de IBM, de General Motors (Opel), d’ITT, d’AEG et de centaines d’autres usines officiellement « allemandes » mais à capitaux à 80 % ou 100% américains dont les intérêts étaient souvent très fortement liés au Cartel Herman Goering Werke et dont les membres des conseils d’administrations s’appelaient, entre autres, Bush et Kennedy, respectivement pères et grand père de trois Présidents des États-Unis.
Tâche totalement impossible sans les machines d’IBM et fondement même de la mythique « efficacité » allemande.
Compensations versées par les gouvernements, donc les contribuables, allemands, français, ou américains…
Réjouissances auxquelles assistaient outre la délégation commerciale allemande, dirigée par Gehrard Westrick : Mr.Edsel, le fils de Henry Ford, représentant les usines Ford. Les représentants de General Motors, IBM, General Electric, Eastman Kodak, ITT, Standard Oil, accompagnés de leur avocat en Allemagne. James D. Mooney, responsable des investissements étrangers de General Motors et son PDG, Alfred P. Sloan, qui y eut ce « bon mot » dont nous admettrons qu’il traduisait la pensée de tous les convives : « Les pays démocratiques du monde ont des dirigeants inintelligents. Non… Stupide, et bornés… Il n’est donc que naturel que les démocraties doivent plier bagages quand un système alternatif se présente avec des chefs qui sont forts, intelligents, agressifs, qui font travailler les gens plus longtemps et plus activement et qui ont l’instinct du gangster. Et, en effet, il paraît que désormais les démocraties ne sont plus dans la course. » Cinq jours plus tard, la victoire nazie fut à nouveau célébrée en grande pompe, toujours au Waldorf, cette fois par Rieber, grand patron de Texaco et grand ami des fascistes, allemands, européens et américains. À nouveau, on vit s’y presser l’élite de la haute finance internationale, célébrant cette aubaine économique, cette nouvelle avancée de leurs intérêts européens…
Chacun l’aura compris, je pourrais continuer cette énumération sur de nombreuses pages, mais j’avais promis de m’en tenir à la seconde guerre mondiale…
« On ne ment jamais autant qu’avant les élections, pendant la guerre et après la chasse », avait coutume de dire Georges Clemenceau, et une constatation s’impose en 2021 : Le trait reste juste, puisque les ouvrages édités à ce jour ne répondent à aucune de ces questions de manière synthétique.
Alors que les faits sont parfaitement connus, que les archives ont été ouvertes, les livres écrits, les tenants de « l’Histoire Officielle », évitent de les critiquer, détournant pudiquement les yeux devant les travaux de leurs confrères et la réalité indiscutable des archives, faute de pouvoir les mentionner sans compromettre les intérêts de ceux qui restent les « Maîtres de la Planète », et dont les noms brillent sans discontinuer depuis plus d’un siècle, aux sommets des plus hauts buildings.
À ces questions primordiales, qui en génèrent à leur tour tant d’autres, les « experts » répondent :
« Génie du mal, règne de la terreur, faute du peuple allemand, envoyé du Diable, idéologie raciste, folie incompréhensible, illogisme fatal » et autres explications fumeuses.
En réalité, tout ceci est un conte à dormir debout, grâce auquel les auteurs accrédités accumulent honneurs et reconnaissance officielle, car il n’y a jamais eu de guerre sans, à son origine, une intention bassement intéressée, un financement bien ordonné, et une volonté parfaitement déterminée.
Aucune « fatalité » n’est jamais entrée en ligne de compte, et la Seconde Guerre mondiale et ses soixante-cinq millions de victimes, n’a pas manqué à la règle, malgré tous les écrans de fumée qu’on s’est acharné à déployer depuis 70 ans.
Ce sont ces bouleversements qui vont décider de tout.
Voilà ce dont il faut bien se souvenir si l’on veut comprendre pourquoi des milliards furent investis dans du matériel de guerre et pourquoi des centaines de millions d’êtres humains furent sacrifiés, au cours du siècle le plus sanglant de l’Histoire.
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Les archives personnelles du général Gamelin, dont le Journal de Marche du Cabinet Gamelin composé de plusieurs volumes représentant environ 3 000 pages, dans lequel il avait noté au jour le jour ses activité jusqu’à son limogeage, connurent le même destin que des milliers d’archives compromettantes puisque que ses carnets de notes et agendas personnels contenues dans deux grandes malles, furent volés en absence de son épouse, par un officier envoyé par le ministère de la Défense, moins d’une heure après le décès du général Gamelin à l’hôpital du Val de Grâce – et avant même que Mme Gamelin en soit avertie – ceci juste avant que les officiers des archives de Vincennes puisse venir apposer les scellées sur les portes du logement.
Parmi les nombreux témoins de ce vol, le général de Cossé Brissac, responsable en ce temps des archives de l’Armée, a rédigé à l’intention de l’historien britannique Martin Alexander, une lettre résumant assez bien les faits.
D’autres témoins, dont le fils du général Petibon, aide de camp du généralissime, et le colonel Le Goyet, autre gardien des archives et auteur d’une biographie très connue du généralissime intitulée Le Mystère Gamelin, ont attesté de l’existence de ces documents.
Voyons pour commencer comment le général de Cossé Brissac a présenté les faits :
Lettre du 6 avril 1983 du général de Cossé Brissac à Mr. Martin Alexander du département d’histoire de l’Université de Southampton, suite au vol du Journal de marche du Cabinet Gamelin.
Monsieur le Docteur,
J’ai bien reçu votre lettre substantielle du 23 mars 1983. Je sais vos hautes qualifications historiques et je suis très honoré que M. Jean Vanwelkenhuyzen vous ait signalé mon nom.
Je vous ai lu avec beaucoup d’attention et d’intérêt. Cette lecture m’incline à admettre la probabilité de l’existence, puis de la disparition, d’un « Journal de marche » du Cabinet Gamelin.
J’ai effectivement assuré la direction du Service historique de l’armée de Terre au château de Vincennes, de 1953 à 1966 – à la mort du regretté Xavier de Virieu.
À mon grand regret je ne puis vous donner de témoignage différent de ceux du lieutenant-colonel Le Goyet et du lieutenant Cadilhon, alors responsables de notre section contemporaine, qui ont pris en charge les documents du général, après levée des scellés.
Je me souviens avoir appris, tout à fait par hasard, de source non officielle, la saisie des archives du général Gamelin, à son domicile, par une équipe que je suppose ministérielle, aussitôt après la mort du général à l’hôpital du val de Grâce. Mort qu’ignorait encore la Générale.
Choqué par la brutalité et l’incorrection d’un tel procédé, j’ai eu alors à cœur de faire savoir à la famille Gamelin que notre Service historique était étranger à cette mesure.
J’ai assisté moi-même aux obsèques du général au Val de Grâce. Quand les papiers saisis ont été remis au lieutenant- colonel Le Goyet, représentant du Service historique, j’ai renouvelé à la famille mon souci de donner satisfaction à ses demandes éventuelles, dans le cadre de nos règlements.
Le lieutenant-colonel Le Goyet m’a rendu compte, à l’époque, de la levée des scellés à laquelle il avait assisté et de l’inventaire des documents reçus, ensuite établis par ses soins.
Je suis certain qu’il n’y avait pas trace du Journal de marche, dont vous supposez non sans raison, l’existence, puis la disparition.
J’avoue que votre exposé me fait regretter aujourd’hui de ne pas avoir manifesté plus de curiosité.
Il est vrai que mes travaux antérieurs sur la Seconde Guerre mondiale m’avaient essentiellement orienté sur les archives allemandes, et fort peu sur celles de l’ancien généralissime.
Il ne faut surtout pas oublier les circonstances qui ont suivi de près la mort du général Gamelin : L’écroulement d’un régime, l’apparition d’un nouveau pouvoir avec tous les changements d’équipes, consécutifs à cette complète rénovation gouvernementale.
Vous ne serez pas surpris, je l’espère, que je confie l’acheminement de cette lettre à mon ami, et lointain successeur, le général Delmas, qui ne doit pas en ignorer la teneur.
Charles de Cossé Brissac
Extrait du Tome N°6 de la série Le Grand Mensonge du XXe siècle : La fin des Mystères ?
« Le 21 janvier 1958, le général Gamelin à la suite d’une mauvaise chute est hospitalisé au Val de Grâce. Il a près de quatre-vingt-six ans et son état est sérieux. Dans sa petite chambre il va vivre trois mois d’une longue agonie. (-) Il meurt le 18 avril et Mme Gamelin a la douloureuse surprise, en rentrant du Val de Grâce, de constater que les scellés sont apposés sur le cabinet de travail du général à son domicile, 55 avenue Foch à Paris. Le ministre de la Défense nationale, par l’intermédiaire du commissaire de police du 16e arrondissement a fait appliquer strictement les textes réglementaires (d’apposition des scellés). Le colonel Consigny représentait le ministre. »
Nous connaissons aujourd’hui les circonstances exactes de cette application « réglementaire » des scellés, puisque le colonel Consigny, qui s’était fait ouvrir le logement par la concierge en l’absence de Mme Gamelin, est le seul à avoir pu voler le Journal de marche et les carnets personnels du général juste avant qu’ils soient posés.
Ce n’est donc que le 4 juin, soit près de deux mois après l’apposition de ces scellés, que le colonel Le Goyet prend possession de ce qui reste des archives du général : « Le 30 avril 1958, une décision ministérielle prescrit au Service historique de l’Armée d’assister un magistrat militaire dans la levée des scellés et la récupération des documents appartenant aux départements de la Défense nationale et des Affaires étrangères. Je suis désigné pour accomplir cette mission, le lieutenant Cadilhon et l’adjudant –chef Brun m’accompagnent. L’opération s’effectue le 4 juin 1958, en présence du Magistrat colonel Jallut, de l’intendant de 3e classe Falcout, du commissaire de police du 16e arrondissement en uniforme, de madame Gamelin, de deux membres de la famille et d’un avoué. Tout est désordre … Des papiers sortis des tiroirs sont éparpillés, d’autres sont entassés par terre, d’autres dans des cantines poussiéreuses… En silence nous entamons les premiers tris. Au bout d’une heure, j’interviens auprès du colonel Jallut et lui suggère de transporter le tout à Vincennes au Service historique de l’Armée avec l’accord de Mme Gamelin et du général de Cossé-Brissac. Après avoir reçu l’assurance que tous les papiers strictement personnels, ou n’ayant aucun intérêt historique, lui seront reversés, et après avoir pris conseil de son avoué, Mme Gamelin accepte. Tous les documents sont mis en cartons et chargés dans une camionnette. » Fin de citation (Le Goyet Le mystère Gamelin page 369, 370, 371).
Ainsi, partant du principe qu’un homme en charge de rassembler, étudier, puis classer les archives d’un général ayant commandé en chef ne peut ignorer l’importance de son Journal de marche et de ses carnets personnels qui en sont les pièces majeures, comment expliquer que ce haut responsable, dans sa biographie du général Gamelin, ne mentionne pas leur disparition ???
Qu’il se contente, sans plus de commentaires de signaler la présence du colonel Consigny le 18 avril ?
Qu’il ne mentionne pas plus les plaintes de Mme Gamelin auprès du général de Cossé Brissac et la lettre d’excuse de ce dernier reconnaissant formellement le vol perpétré avant l’apposition des scellés, puis préfère décrire le cabinet de travail du généralissime totalement mis sens dessus-dessous par cette fouille hâtive, comme s’il s’agissait de l’état normal des lieux ?
Quant à la raison pour laquelle il fut choisi pour veiller au classement et au bon enregistrement de ces archives, certaines mauvaises langues, après avoir constaté le zèle avec lequel il contribua à la rédaction de la bible officielle, ont pu y voir un excellent moyen de filtrer à nouveau ces documents, au cas où quelques pièces auraient pu échapper au colonel Consigny, envoyé par M. Chaban Delmas en ce temps ministre de la Guerre du gouvernement de M. Félix Gaillard.
Le lecteur ne s’étonnera donc pas que les enregistrements et rapports rédigés dans la journée du 15 mai 1940 à la suite de la trahison du tandem Georges – Billotte, aient également « disparu » de l’histoire de cette bataille, ou que les témoignages et rapports concernant les « chars fantômes de Sedan » aient été modifiés ou se soient « envolés ».
En définitive, et quoiqu’il en soit de ce nouveau tour de passe-passe historique, une chose est certaine : Ce témoignage nous donne l’assurance que tous les documents sur cette bataille, volés ou pas, et en particulier ceux concernant le rôle que le généralissime y a tenu, sont actuellement en possession de l’État français, puisque le général Gamelin a bien pris soin de préciser qu’il a pu disposer, pour rédiger ses Souvenirs, de toutes ses archives : « Il me faut notamment revoir de près toute une série de notes soigneusement enregistrées au jour le jour, par moi-même, ou par mon état-major. (-) J’eus soin d’accompagner mes notes et mémoires de toutes les pièces à l’appui que je pus faire retrouver dans les archives de mon ancien état-major particulier. Je tenais à ce que ces documents fussent déposés au dossier du procès. Et bien m’en prit d’ailleurs, car une partie d’entre eux fut détruite par les autorités militaires qui en avaient la garde, (c’est moi qui souligne) quand les Allemands pénétrèrent en zone libre le 11 novembre 1942 »
Décidemment, il semble que ce soit une manie de détruire les archives chez nos militaires, et l’on comprend maintenant à quel moment ces « autorités » ont pu détruire tous les documents ayant un rapport quelconque avec les informations fournies par Roessler et les autres.
Marotte de la destruction que Gamelin devait connaître puisque : « j’avais heureusement le double des originaux essentiels. (-) Mes archives ont pu être précieusement conservées, à peu près complètes, mais j’ai dû les mettre à l’abri tant que la France était occupée par les Allemands. Il y a d’ailleurs des faits, ou des opinions, qu’il vaut mieux n’exposer qu’avec un certain recul et quand les passions soulevées par les crises que nous traversons auront perdu de leur acuité. »
Fin de citation (Gamelin Servir Tome 1 Introduction page II)
Et le constat est clair… Apparemment les « passions » ne sont pas refroidies.
Sachant que le double de ces pièces a été détruit par les Français lorsque les Allemands pénétrèrent en zone libre le 11 novembre 1942, et qu’il convient d’ajouter à toutes ces disparitions « malencontreuses » les milliers d’archives saisies par les « alliés anglo-saxons » qui, selon mes conclusions personnelles, servent encore à exercer le chantage indispensable au maintien du « secret de famille », on ne s’étonnera pas de la facilité avec laquelle la thèse de l’illogisme put s’imposer.
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