Les médias bloquent l’information

Les médias bloquent l’information

Les chercheurs, historiens et autres lanceurs d’alertes bâillonnés.

Comment expliquer une telle mainmise sur l’information ?

De nos jours, on ne brûle plus les livres interdits, pourtant curieusement dans notre société hyper informée, rien n’est plus aisé que faire disparaître une information, tout simplement en l’occultant dans les médias.
Pour s’en convaincre, il suffit de lire les témoignages des universitaires les plus reconnus tel Antony C. Sutton, économiste et historien britannique, chercheur à Stanford et professeur à l’UCLA qui fut un des premiers, dans les années soixante, à révéler la part prise par les banquiers et industriels américains dans l’accession au pouvoir d’Hitler et l’effort de guerre du IIIe Reich, ou Alice Teichova, professeur à l’université East Anglia au Girton College de Cambridge et à l’Ecole des Sciences économiques et politiques de Londres, qui a retrouvé les ramifications britanniques et européennes du système financier nazi en Europe, ou encore Adam Tooze, enseignant à Yale, qui révéla la vérité sur l’économie allemande de l’entre-deux guerre, Edwin Black qui mit à jour la part prépondérante prise par IBM dans la conduite de la guerre et l’Holocauste, ou Joseph Borkin qui osa s’attaquer aux crimes de l’IG Farben, c’est-à-dire la société Standard Oil de J.D. Rockefeller Junior. Tous eurent, comme nombre de leurs collègues universitaire « révisionnistes », à subir des pressions constantes et variées ainsi qu’en témoigne Sutton :

« Malgré leur Constitution et ses contraintes supposées, les États-Unis sont devenus un Etat quasi totalitaire. Si les signes extérieurs de la dictature ne sont pas encore visibles et que les camps de concentration, et autre agents du pouvoir venant frapper à notre porte à minuit, ne sont pas notre quotidien, les détracteurs de l’establishment font cependant l’objet de menaces. Des actions sont menées contre eux, telles que l’utilisation des services fiscaux pour faire rentrer dans le rang les dissidents, ou encore la manipulation de la Constitution par un système judiciaire subordonné à cette élite. (-) À travers des maisons d’édition contrôlée par cette même élite financière, les livres gênants passent à la trappe et les livres « utiles » sont mis en avant. (-) Le résultat global de cette manipulation de la société par l’Establishment a été le déclenchement de quatre guerres de grande ampleur en 60 ans, une dette nationale écrasante, l’abandon de la constitution, la suppression de liberté et d’opportunités, et la création d’un immense gouffre de crédibilité entre l’homme de la rue et ses dirigeants politiques.

Anthony Sutton

Le dispositif transparent de deux partis principaux claironnant des différences artificielles, des conventions dignes des jeux du cirque, et le cliché de la politique étrangère plus partisane, n’est quant à lui plus du tout crédible. Et l’élite financière, qui reconnaît elle-même que sa politique n’emporte pas l’adhésion du public, est de toute évidence prête à suivre son chemin en solo, sans le soutien symbolique de ce public. Les preuves apportées par les historiens révisionnistes constituent l’arrête de ce débat, les fondements de nos accusations de subversion. Lentement, au fil des décennies, livre après livre, pratiquement ligne après-ligne, la vérité sur l’histoire récente émerge au fur et à mesure que les documents sont publiés, examinés, analysés et organisés dans un cadre historique plus valide. » ( Antony Sutton – Wall Street et l’ascension d’Hitler).

Ce texte date de 1976. Pourtant, quarante ans plus tard la situation n’a pas évolué d’un pouce, empirant au contraire. Ainsi, en 2013, au Canada cette fois, l’historien Jacques Pauwels, de l’université de Toronto, se plaignait des mêmes entraves sourdement opposées à la liberté d’information par ces quelques lignes en conclusion de son livre : « L’histoire, c’est de la foutaise » a dit un jour Henry Ford. Le Big Business dispose de l’argent nécessaire pour faire écrire les livres et les diffuser à grande échelle. Ce travail est mis au point par des auteurs triés sur le volet, dont les entreprises peuvent attendre sympathie et compréhension, et ces auteurs savent ce qu’on attend d’eux en échange de plantureux honoraires. Dans ces livres, par conséquent, il n’est généralement pas du tout question de thèmes potentiellement désagréables. Nous pouvons qualifier ces ouvrages « d’antiseptiques ». Dans les histoires plus ou moins officielles des grandes entreprises américaines, par exemple, il n’est presque jamais question du rôle de leurs filiales en Allemagne pendant la guerre. (-) Des études antiseptiques ont été produites pour le compte de Ford, General Motors, Volkswagen, Krupp, Allianz, Daimler-Benz, Deutsche Bank, Degussa, Dresdner Bank, Flick et Bertelsmann. Ce n’est pas un hasard si de tels auteurs n’éprouvent aucune difficulté à dénicher rapidement une grande maison d’édition désireuse de publier leur travail.

Jacques Pauwels

L’écrasante majorité des grandes maisons d’édition américaines et allemandes sont, soit des entreprises gigantesques et donc des membres bona fide du Big Business, soit la propriété de holdings dont les grandes entreprises possèdent de gros portefeuilles d’actions. Les manuscrits d’études critiques sont, quant à eux, presque toujours refusés par ces éditeurs. Des livres dans lesquelles les sujets délicats sont évités, ou habilement justifiés, peuvent par contre se trouver des semaines durant dans les vitrines des grandes librairies qui, très souvent, sont des filiales, ou des associées des grandes maisons d’édition. Des études critiques sont généralement difficiles, voire impossibles à dénicher dans ces librairies. Et ce phénomène commence à se répandre en Europe. Les grandes maisons d’édition liées au big business, qui publie des études non critiques à gros tirage, peuvent se payer ce service. » (Jacques Pauwels Big business avec Hitler).

Ce qui permet d’oublier les recommandations des plus éminents représentants de cette respectable profession :

« L’écriture de l’histoire, consiste en une révision sans fin du passé. La réalité effective de l’histoire demande à être envisagée en même temps que ses possibilités ». John Lukacs

« Toute vérité est bonne à dire pour l’historien, même et surtout celle qui dérange les préjugés, heurte des idées reçues ou des intérêts partisans. » Raymond Aron

Et celles de quelques hommes raisonnables :

« Partout où le hasard semble jouer à la surface, il est toujours sous l’empire de lois internes cachées, et il ne s’agit que de les découvrir. » Friederich Engels

Car le véritable complot des médias et des éditeurs aux ordres du Grand capital noir ne fut pas d’interdire aux historiens révisionnistes et aux intellectuels de travailler, mais de paraître se désintéresser de leurs travaux, de les reléguer dans les poubelles de l’information et, au mieux, de ne les évoquer que dans des émissions de télévisions « élitistes », ou dans des documentaires diffusés aux heures les plus avancées de la nuit. 

Car tous savent depuis toujours que :

« Celui qui a le contrôle du passé, disait le slogan du Parti, a le contrôle du futur. Celui qui a le contrôle du présent a le contrôle du passé. » 1984 George Orwell

et que le « bas Peuple » doit être maintenu dans l’ignorance.

Ce qui nous attend demain

Ce qui nous attend demain

En octobre 2017, l’institut des Finances Internationales publiait les chiffres officiels de la dette que le grand capital international avait accumulée : 237.000 milliards de dollars.
Soit 192.000 milliards d’euros, ou plus de trois fois l’activité économique annuelle de la planète. Donc plus de 30 000 $ par habitant, y compris les nouveau-nés, les vieillards et le milliard de gens qui vivent avec moins de 1 € par jour.
Chiffres bien entendu en hausse en 2018 et que l’on estimait déjà à 250.000 milliards de dollars. De plus le montant des produits dérivés des banques dans le monde avait dépassé 1.500.000 milliards de dollars soit plus de 1000 fois la valeur de l’or détenu par l’ensemble des banques centrales dans le monde ( 1400 milliards $). Ce qui, en cas de krach, représentait un passif total d’environ deux millions de milliards de dollars. Soit environ 2500 fois le PIB mondial (évalué à 80.000 milliards $ pour 2018) !
Dans le même temps les fonds propres des grandes banques mondiales ne représentaient plus qu’entre 0,15 % et 0,6 % de leurs engagements sur ces produits dérivés.

Ainsi, pour chaque actif, la facture était d’autant supérieure, et augmentait d’environ mille milliards de dollars par an.
Pour nous faire une idée de cette vitesse, pensez qu’aux seuls Etats-Unis, entre 1776 et 2006, elle avait atteint 8.000 milliards, et qu’il n’aura fallu que onze ans pour qu’elle soit multipliée par 2,5.
Effet boule de neige qui explique comment, au cours de ses deux mandats, Barack Obama aura réussi à créer plus de dette que l’ensemble des quarante-trois ex-présidents américains depuis George Washington !
Et pourtant, tout cela reste abstrait. C’est pourquoi quelques mots d’explication sur les conséquences de cette folie, ne seront pas de trop.

D’abord, chacun l’aura compris, la dette ne sera jamais remboursée, ce qui veut dire que des millions d’actionnaires vont se retrouver ruinés au cours du plus grand crash financier de tous les temps.
Imaginons donc ce scénario catastrophe, qu’il est impossible de prédire, mais tel qu’il pourrait se produire à une date indéterminée…

Pour commencer, les gouvernements continueront encore un temps de prétendre avoir la solution en imprimant plus de monnaie, ce qui ne fera qu’amplifier le problème.

Puis ils feront marche arrière ce qui conduira à une hyperinflation, avec des taux d’intérêt atteignant 15 à 20%.
Et nous constatons qu’en 2018 le processus vient de commencer avec l’abandon par Wall Street des prêts à taux zéro.
Quant aux prêts immobiliers ils affichent en France, en juin 2018, un taux de 1,7%, tandis qu’aux USA, ils ont dépassé les 4,6% (taux directeur de la FED à 2%)…
Ainsi, bientôt les banques centrales perdront le contrôle sur leur manipulation des taux d’intérêt. Et c’est alors seulement, que commenceront les véritables difficultés…

Tout d’abord, au fur et à mesure que la dette implosera, tous les actifs de la bulle s’effondreront. Les actions, les obligations et l’immobilier déclineront de 80 à 100%.
Soit ce qui advint entre 1929 et 1932, lorsque le Dow Jones a chuté de 90%, entre 2000 et 2002 quand le Nasdaq a décliné de 80%, ou encore entre 2007-2010 lorsque la crise des subprimes « surprit » jusqu’au secrétaire au Trésor américain, Mr. Bear Stearns qui, en débranchant Lehman Brothers et ses 660 milliards d’engagements, pensait que le choc pourrait être absorbé.
Erreur fatale qui entraina en quelques jours la chute d’AIG plus grosse société d’assurance du monde, puis tout le reste de la structure.
La seule différence avec ce qui pourrait nous attendre étant que lors de ces trois grands crashs la dette mondiale était inférieure, et les bulles d’actifs bien moindres. Ce qui permit de régler la crise de 1929 au prix de la Seconde Guerre mondiale.
Par contre, les deux dernières n’ayant pas solutionné le problème de fond, mais simplement placé quelques rustines pour tenter de remédier aux effets immédiats, – rustines qui sauteront avec l’abrogation de la loi Dodd-Frank et la politique de guerre économique mondiale voulue par Trump – la dette ne ferait qu’augmenter, mais avec un effet exponentiel !
En effet, si l’on ne considère que la crise de 2008, la planète économico-financière qui avait engendré une dette de 140 000 milliards de dollars, fut sauvée par une politique de relance budgétaire ayant permis à la croissance mondiale de rebondir, sans pour autant engendrer une forte inflation, puisque la tendance était déflationniste.

De plus, grâce à l’action des banques centrales qui inondèrent les marchés de liquidités, les taux d’intérêt à long terme n’ont pas augmenté, et ont même baissé pour atteindre parfois des niveaux nuls, voire négatifs. La relance a donc bénéficié d’un contexte parfait : faible inflation, politiques monétaires ultra-accommodantes et taux d’intérêt des obligations d’Etat excessivement bas.
Le problème est que la planche à billets qui inonda littéralement le marché de la dette (plus de 4.000 milliards de dollars aux Etats-Unis) n’a pas épargné l’euro puisqu’en 2017, la dette de la Banque centrale européenne (BCE) dépassait celle de la FED avec 4.157 milliards d’euros, soit plus de 4.568 milliards de dollars, devenant ainsi, après la Chine, le plus important émetteur de monnaie du monde. Pourquoi ?

Tout simplement parce que depuis mars 2015 l’institution a décidé d’acheter pour 60 milliards d’euros d’actifs par mois aux banques internationales détentrices de la dette des Etats européens. Volume porté à 80 milliards en mars 2016 avant de revenir à 60 milliards en 2017.
Là encore en imprimant des euros, sans garantie puisque la reprise de l’économie en zone euro est loin de pouvoir intégrer l’impression de tant de milliards d’euros.
L’Europe a donc suivi le processus de fuite en avant enclenché aux Etats-Unis par la FED. Et quel autre choix avait-elle ?
Or aujourd’hui, chacun sait que l’augmentation de cette dette qui atteignait 4 427,5 milliards d’euros soit 41 % du PIB de la zone euro au moment du bilan en novembre 2017 n’est pas parvenue à relancer une croissance stable fondée sur une économie pérenne, puisque le PIB européen n’a évidemment pas progressé de 41 % en 3 ans !!
Cela veut dire que la croissance économique européenne est tout simplement une croissance de la masse monétaire, pas une croissance économique normale et saine.
Ainsi avec la guerre économique enclenchée par les USA et l’effondrement programmé du dollar, donc le crash à venir, la dette devrait être de plus de 230 000 milliards de dollars soit plus du double qu’en 2008, mais avec de surcroit un « plan catastrophe » à plus ou moins long terme envisageant le crash comme une solution finalement rentable pour les états endettés et les banques qui auront su le préparer.
Autrement dit aux dépends à la fois des petits porteurs et des économies nationales, donc des contribuables…
Ainsi il n’y aurait guère plus que la Chine avec ses 3.200 milliards de dollars de réserves de changes en toutes monnaies et l’Allemagne, avec son excédent public, qui pourraient faire face à la tempête.
Pour les autres, c’est-à-dire quasiment tout le monde, il ne serait pas possible de relancer la machine.

Ce qui explique pourquoi, dans son rapport d’Octobre 2017, le FMI a prédit pour 2020, une hausse rapide des taux d’intérêt, une chute de 15 % des marchés et un recul de 7 % des prix de l’immobilier. Donc une production mondiale en chute de 1,7 % en moyenne. « L’intensité du choc est égale à un tiers de celle enregistrée en 2008. Chacun peut imaginer le désastre si d’aventure les marchés dévissent de manière plus importante. »
Et bien sûr chacun sait que ces marchés VONT dévisser puisque la dette a augmenté de manière incontrôlable…

D’ailleurs même si le Dow Jones monte depuis 8 ans et demi, passant de 6.000 à 25.000 points. Soit 400% de hausse, là encore. Mais là encore on « oublie » allègrement les leçons de l’Histoire qui nous rappelle que la plus longue hausse boursière de l’Histoire n’a duré que neuf ans, entre 1920 et 1929…

Ainsi, si l’on en croit la plus élémentaire logique, il s’agirait donc de se défaire, dans un délai très proche au vu de ce qui se prépare, d’environ 2 quadrillions de dollars de dettes, de passifs non capitalisés, et de produits dérivés.
Ce qui veut dire 29 fois le PIB mondial. En deux mots : La fin du système financier tel que nous le connaissons, puisque le papier monnaie, n’étant appuyé sur aucun étalon concret, serait rendu à sa valeur initiale : Un morceau de papier.
Et l’on imagine les foules se rassemblant paniquées devant les banques fermées, ou les distributeurs vides, pour réclamer non plus leurs économies, soit toute une vie de travail, mais juste quelques sous, afin de survivre.
Ce qui permet de comprendre pourquoi on cherche aujourd’hui à nous persuader de nous débarrasser de l’argent physique, pour ne plus utiliser que de la monnaie virtuelle.
Autant éviter ces scènes pénibles, et une déforestation inutile…

Heureusement, qu’on se rassure ! Une telle catastrophe ne toucherait réellement que les plus pauvres, puisque la directive relative au redressement des banques et à la résolution de leurs défaillances (BRRD) entrée en vigueur le 1er janvier 2016 et ratifié à l’unanimité par la totalité des gouvernements et des Parlements membres de l’OCDE, permettant aux banques en faillite de régler leurs dettes en faisant en toute légalité main basse sur les dépôts bancaires de ses épargnants, a été plafonnée à 100 000 euros !

Le problème évidemment étant que si les banques font faillite, 100 000 euros ne vaudront plus grand-chose…

Autre conséquence « heureuse » : L’implosion de la dette et des actifs entraînerait le plus important transfert de richesse de l’histoire : Les moyennement riches perdraient tout, tandis que les plus pauvres ne perdraient que leurs dettes. Ainsi, dans cette misère générale, seuls les plus riches s’en sortiraient. Ce qui malheureusement n’irait pas sans poser là encore quelques problèmes car si aujourd’hui une personne sur dix dans le monde vit avec moins de 2 dollars par jour, il faudrait que Bill Gates, première fortune mondiale, et même s’il continue de distribuer aussi généreusement sa fortune qu’il le fait depuis quelques années, débourse un million de dollars par jour pendant 2738 ans pour dépenser les 1000 milliards de dollars qu’il devrait posséder s’il vit jusqu’à 85 ans.
Ce qui devrait même lui donner la possibilité de se retirer sur mars avec toute sa famille, en cas de conflit mondial…

Car ne nous y trompons pas, c’est ce qui nous menace

Surtout si l’on intègre à ces données hautement menaçantes, les conséquences du réchauffement climatique et des exodes massifs de populations, donc la suite de conflits, révolutions et catastrophes humanitaires en tous genres que ceux-ci vont provoquer.
Bouleversements divers et variés qui pousseront, car ici nous ne sommes plus dans le domaine de la prospective mais de la certitude, chaque état d’influence, pensant avant tout à sa survie, à défendre ses intérêts particuliers par la force.
Et on comprend que depuis quelques années les budgets militaires des états les plus riches explosent littéralement, puisqu’en 2015 les dépenses militaires dans le monde, qui jusqu’ici stagnaient, sont passées à 1676 milliards de dollars, soit 2,3 % du PNB mondial, enregistrant un pour cent de hausse en une année et que celles-ci ne cessent d’augmenter, avec en tête des plus gros acheteurs : Les États-Unis avec 36 % des dépenses militaires mondiales (612,5 milliards de dollars et 7 500 ogives nucléaires), la Chine, deuxième plus gros budget de défense, qui entre 2006 et 2015 a multiplié par 132 son budget (215 milliards de dollars et 300 ogives). La Russie avec 76 milliards et 8 500 ogives nucléaires. Mais également l’Union européenne qui a prévu d’augmenter son budget de 8,6% à partir de 2016.

Et pourquoi dépenser tant d’argent pour des armes, si ce n’est dans le but de les utiliser un jour ?…

Proposition qui n’est sans doute pas hors de portée de l’entendement d’un Trump, qui pourrait ainsi tenter d’imposer par les armes la volonté hégémonique américaine sur le monde, afin de compenser la perte de pouvoir économique, et donc politique, du billet vert.
Car qui ignore qu’une « bonne guerre » restera toujours un levier magique pour retrouver une côte de popularité en péril après un effondrement monétaire ?
D’ailleurs n’est-ce pas ainsi que Roosevelt et Wall Street ont reboosté l’économie américaine en déchainant la Seconde Guerre après la crise de 1929 ?

Conclusion :

Sachant, ainsi que le publiait l’agence Reuters de Londres en février 2021 que : « Les aides liées à la pandémie ont créé 24.000 milliards de dollars de dette supplémentaire l’an dernier, portant la dette mondiale à un niveau record de 281.000 milliards de dollars (233.330 milliards d’euros) et le ratio dette/PIB mondial à plus de 355%, selon une étude. » Chiffres pharamineux que l’Institute of International Finance (IIF), complétait en précisant que les programmes de soutien étatiques ont contribué pour moitié à cette hausse, tandis que les entreprises, les banques et les ménages du monde entier ont ajouté respectivement 5.400, 3.900 et 2.600 milliards de dollars. Ce qui signifie que la dette mondiale a augmenté de 35 points de pourcentage. Qu’elle est à plus de 355% du PIB, et que cette hausse est supérieure de 10 points par rapport à 2008 et de 15 points par rapport à 2009. Il ne nous reste plus qu’à tirer la conclusion attendue : La dette prévue pour 2019 qui ne devait initialement pas dépasser à l’horizon 2020 : « 230 000 milliards de dollars soit plus du double qu’en 2008 » est à l’heure où je rédige cet article en février 2021 de 281.000 milliards de dollars ». Et en ce cas, qu’on m’explique comment la faire baisser autrement qu’en provoquant le moment venu, c’est-à-dire une fois que le Grand capital international noir aura su mettre ses avoirs à l’abri, ce grand crash mondial qui devrait faire cesser cette course folle, en détruisant l’épargne des Peuples ?

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Pourquoi cette amnésie massive ?

Amnésie massive

Pourquoi cette amnésie massive ?

Les parallèles à tirer entre la situation géopolitique mondiale de ce début de 21ème siècle et celle de 1927, à la veille du grand crash boursier de 1929, sont si évidents qu’on ne peut que s’étonner que les Peuples n’en soient pas plus informés.

À moins bien sûr que ce genre d’évidence ne soit tout simplement occultée « pour leur plus grand bien ». Après tout ne sont-ils pas « trop immatures » pour être informés de certaines réalités ?

En réalité, c’est sous ce prétexte rémanent que, depuis des siècles, on manipule les opinions et que les crises économiques ont pu mener aux guerres que nous connaissons.
Aussi n’est-il sans doute pas inutile de rappeler que ceux qui en furent les instruments, furent les premiers à s’en vanter :

La drogue de l’oubli

Voici les propos tenus par Goering et Goebbels au cours du procès de Nuremberg :
Göring : « Les gens peuvent toujours être entraînés sur ordres des dirigeants. C’est facile. Tout ce que vous avez à faire c’est de leur dire qu’ils sont attaqués, et de dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme et le fait qu’ils mettent le pays en danger. Ça fonctionne toujours pareil dans tous les pays.
Goebbels : « La technique de propagande la plus brillante n’aura aucun succès à moins d’un principe fondamental qu’il convient de garder constamment à l’esprit – il faut se limiter à quelques points et les répéter encore et encore.
Il devient de fait d’une importance vitale pour l’État d’utiliser tous ses pouvoirs pour réprimer la dissidence, tant il est vrai que la vérité est l’ennemi mortel du mensonge, et que par extension la vérité est le plus grand ennemi de l’Etat. »
Göring : «  Bien sûr, les gens ne veulent pas la guerre. Pourquoi est-ce qu’un pauvre type d’une ferme voudrait risquer sa vie dans une guerre quand le mieux qu’il puisse faire est de revenir dans sa ferme en un seul morceau ?
Naturellement, les gens ordinaires ne veulent pas la guerre ; ni en Russie, ni en Angleterre, ni en Amérique, ni d’ailleurs en Allemagne. Cela est très clair. Mais, après tout, ce sont les dirigeants du pays qui fixent la politique et c’est toujours une question élémentaire d’entraîner le peuple, que ce soit dans une démocratie, ou une dictature fasciste, ou le parlement, ou une dictature communiste. »

Et qui peut aujourd’hui nier que les Peuples du monde restent soumis à cette loi non écrite ?

La question est donc : pourquoi n’ouvrent-ils pas les yeux ?

Réponse d’Alexandre Soljenitsyne : « Nous ne nous trompons pas parce que la vérité est difficile à voir. Elle est visible au premier coup d’œil. Nous nous trompons parce que le mensonge est plus confortable. »
Et trois cent ans avant lui , celle de Diderot : « Nous avalons goulûment tout mensonge qui nous flatte, mais ne buvons que goutte à goutte, voire pas du tout, la vérité que nous trouvons amère. »

Et pourquoi le secret de famille imposé par les États dits « démocratiques », à propos de la trahison militaire française est-il si doux, et la vérité si inconfortable ?

Tout simplement, parce qu’il a été adopté par le monde entier et qu’il est devenu base de toutes nos réflexions.
Mieux ! Il est devenu part de nous-même, puisque tous nos choix moraux sont basés sur la conception de la lutte des forces du Bien contre celles du Mal. Celles du Mal représentant systématiquement « l’ennemi », auquel on inculque bien sûr les mêmes principes …

Le mensonge initial devient donc « mon mensonge », et même notre mensonge, celui qui lie nos sociétés.
Voilà pourquoi, en s’attaquant à lui, l’Historien révisionniste met en cause notre vision du monde et la manière dont nous percevons ses règles, donc notre personnalité la plus intime, la plus structurée.
Et l’on se battra, parfois inconsciemment, parfois en dépit du plus élémentaire bon sens, pour que ce mensonge demeure notre réalité.

« Gott ist mit uns »

De plus, les mêmes sociétés dites « démocratiques » ont hérité la triste habitude de renforcer leur pouvoir par une sorte d’alliance avec le concept divin, puisque Dieu est censé accorder la victoire à chaque camp afin de défendre La Vérité unique.

Enfin, si l’on ajoute à cela l’autorité que représente un gouvernement élu, l’armée ou la loi, s’attaquer à ces fondamentaux revient, dans le contexte œdipien, à remettre en question l’autorité du père protecteur !

Et comment pourrait-on résister à de telles pressions ?

Ainsi, même si nombre d’entre nous avons conscience du problème, il n’est pas facile d’admettre avoir été berné. D’autant qu’un autre sentiment négatif vient s’y ajouter : Le dégoût instinctif du mensonge.

Voilà pourquoi seule la vérité historique dûment enseignée aux jeunes générations par des historiens et des chercheurs ne travaillant que sur archives, et surtout loin de toute considération politique, leur permettra de distinguer les différents sens attribués aux mots « démocratie » ou « liberté », et leur rappellera que si la vérité peut blesser, le mensonge tue à coup sûr…

Car la grande question, en fait la seule important aujourd’hui à nos enfants est de savoir si la Mémoire est un patrimoine commun, si, une et indivisible, elle appartient en propre à chaque habitant de cette planète, qui, à sa naissance, recevrait en partage le droit inaliénable d’avoir accès à l’Histoire d’un monde construit par ses ancêtres, de comptabiliser à ce titre chaque goutte de sueur et de sang versé par sa famille.
Et si c’est réellement un droit, lui mentir serait un crime. Ou si l’humain doit être considéré comme un instrument de production, venant au monde sans cet héritage, et mourant sans le transmettre ?

Voilà ce que vous devrez décider, avant de vous donner les moyens matériels d’agir.

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Projet de Pandora : Espoir

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Espoir

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Une chose, une seule, nuit à la planète et aux Peuples : Le mensonge.

Sans vérité, ceux-ci n’ont aucun pouvoir sur leur destin. Voilà ce qu’il convient de changer.

En effet, accepter que les mensonges d’États continuent sur le même mode, c’est renoncer à exercer tout contrôle sur les hommes de « l’establishment ».

À contrario, se réapproprier les expériences du passé, c’est non seulement s’ouvrir le droit d’exiger la transparence absolue sur les grandes décisions engageant les différents pays, mais également la participation des représentants des Peuples à leur élaboration.

Une fois cette évidence bien comprise, nous pourrons agir tous ensemble afin de peser sur les « Puissants »,  car chaque décision prise au cours des prochaines années sera cruciale pour l’avenir de l’Humanité.

Et la question se posera : Allons-nous continuer sur le même mode de « la croissance à tous prix. » Alors que nous savons parfaitement que ce fut le ressort du puissant mécanisme qui amena tant de destructions au cours du 20ème siècle ?

Ou préfèrerons-nous changer de mode de fonctionnement en éliminant de notre raisonnement les principes de concurrence et de conquête, de croissance sans limites, afin de les remplacer par ceux d’une saine gestion des acquis technologiques, et de coopération entre les Peuples ?

Un rêve aujourd’hui à notre portée grâce aux nouveaux moyens de communication, et puisque la légitimité de décider de l’avenir de nos sociétés a changé de camp.

Vous trouverez bientôt sur ce site les liens vous permettant de contacter les associations partenaires, qui rêveront avec vous ce monde idéal.

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