D’innombrables fausses informations ont été intégrées à la version officielle du « Blitzkrieg »
Contrairement à la légende, les états-majors alliés savaient tout du plan allemand, dès le mois de février 1940
Le 13 mai 1940, des chars français « cagoulards » ont attaqué à revers les bunkers et positions d’artilleries françaises sur la Meuse de Sedan, afin de permettre aux Allemands de franchir le fleuve.
Le 14 mai, le général Martin, ordonnait, sans raison et en opposition aux ordres reçus, un repli général de tout le front français à hauteur de la Meuse de Givet.
Le plan d’attaque allemand, unanimement critiqué par tous les généraux, n’aurait jamais eu la moindre chance de réussite, sans qu’une suite de trahisons sabote l’excellent plan allié.
Le plan Dyle-Breda, concocté par le généralissime Gamelin et adopté par les états-majors alliés, tenait compte à la fois des informations obtenues des Services de renseignements et des énormes faiblesses du plan allemand.
Après la plan Dyle-Breda, le général Gamelin a conçu dans la foulée deux nouveaux plan, afin de pincer les colonnes allemandes à leur sortie des Ardennes. Ces deux plans furent également sabotés.
Alors que l’armée française pouvait, à elle seule, aligner au jour de l’attaque allemande plus d’avions que les Allemands. Seul quelques centaines d’appareils furent envoyés au combat.
Comment l’histoire officielle, fit d’un défenseur de la République le bouc émissaire en charge de camoufler les nombreuses trahisons.
Le général Weygand, cagoulard notoire, curieusement désigné pour sauver une République qu’il haïssait, permit – en maintenant ses troupes immobiles pendant cinq jours – aux Allemands d’encercler les Alliés à Dunkerque ;
Tous les termes du contrat secret passé entre les Cagoulards et les Allemands.
Après 80 ans de mensonges d’États, un point sur les mensonges constitutifs de la version officielle.
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